Le SAIO, quesako ?

Introduction

Dans le monde numérique actuel, l’utilisation des moteurs de recherche est devenue une activité quotidienne pour de nombreuses personnes. Que ce soit pour trouver des informations sur un sujet précis, des produits à acheter ou des personnes à contacter, la recherche est souvent le premier moyen d’obtenir ces informations. Cependant, la qualité des résultats de recherche peut varier considérablement en fonction de la qualité des requêtes et des algorithmes de recherche utilisés. C’est là que la notion de Search Artificial Intelligence Optimization (SAIO) entre en jeu, développé par François Tréca dans son article du 30 mars 2023.

Le SAIO est une méthode d’optimisation de la recherche qui utilise l’intelligence artificielle et le traitement du langage naturel pour améliorer la pertinence des résultats de recherche. Le SAIO combine des techniques d’apprentissage automatique et des algorithmes de recherche pour comprendre les requêtes des utilisateurs et fournir des résultats de recherche plus précis et plus pertinents.

Dans cet article, nous allons examiner de plus près le concept de SAIO, ses avantages pour les utilisateurs et les entreprises, ainsi que les défis qu’il présente. Nous allons également discuter des perspectives d’avenir pour le SAIO et de l’optimisation de la recherche.

Les bases du SAIO

Le Search Artificial Intelligence Optimization est basé sur l’utilisation de l’intelligence artificielle et du traitement du langage naturel pour améliorer la pertinence des résultats de recherche. Pour ce faire, le SAIO utilise des techniques d’apprentissage automatique pour analyser les modèles de recherche et les comportements des utilisateurs.

Le traitement du langage naturel (NLP) est une partie essentielle du SAIO. Le NLP permet à l’ordinateur de comprendre le sens des requêtes des utilisateurs, plutôt que de simplement chercher des mots clés. Cela permet une recherche plus précise et plus personnalisée.

Les algorithmes de recherche sont également utilisés pour analyser les comportements des utilisateurs et ajuster les résultats de recherche en fonction de leurs préférences. Les algorithmes peuvent prendre en compte des facteurs tels que la localisation de l’utilisateur, les recherches précédentes et les interactions avec les résultats de recherche.

L’utilisation de l’intelligence artificielle et du traitement du langage naturel dans le SAIO permet également de résoudre des problèmes de recherche plus complexes, tels que les requêtes longues et complexes et les synonymes. Le SAIO peut comprendre les relations entre les mots et les concepts pour fournir des résultats plus pertinents et plus précis.

En somme, le SAIO utilise des techniques d’apprentissage automatique, de traitement du langage naturel et d’algorithmes de recherche pour améliorer la pertinence des résultats de recherche. Cela permet une recherche plus précise, plus personnalisée et plus efficace.

Les avantages du SAIO pour les utilisateurs

Le SAIO offre plusieurs avantages pour les utilisateurs, notamment :

  1. Amélioration de la pertinence des résultats de recherche : le SAIO utilise des techniques d’apprentissage automatique pour comprendre les requêtes des utilisateurs et fournir des résultats de recherche plus précis et plus pertinents.
  2. Personnalisation des résultats en fonction des préférences de l’utilisateur : le SAIO analyse les comportements des utilisateurs et ajuste les résultats de recherche en fonction de leurs préférences. Cela permet une recherche plus personnalisée et plus efficace.
  3. Réduction du temps nécessaire pour trouver les informations recherchées : grâce à l’amélioration de la pertinence et de la personnalisation des résultats de recherche, les utilisateurs peuvent trouver les informations qu’ils recherchent plus rapidement et plus facilement.

En somme, le SAIO permet une expérience de recherche plus agréable et plus efficace pour les utilisateurs. Les résultats de recherche sont plus pertinents et plus personnalisés, ce qui permet de gagner du temps et de trouver les informations recherchées plus rapidement.

Les avantages du SAIO pour les entreprises

Le SAIO offre également des avantages pour les entreprises, notamment :

  1. Amélioration de la satisfaction client : en fournissant des résultats de recherche plus pertinents et plus personnalisés, les entreprises peuvent améliorer la satisfaction de leurs clients.
  2. Augmentation des taux de conversion : des résultats de recherche plus précis et pertinents peuvent conduire à une augmentation des taux de conversion, car les clients sont plus susceptibles de trouver les produits ou services qu’ils recherchent.
  3. Amélioration de la visibilité de la marque : en utilisant le SAIO pour améliorer la pertinence des résultats de recherche, les entreprises peuvent améliorer leur visibilité en ligne et augmenter leur présence sur les moteurs de recherche.
  4. Réduction des coûts publicitaires : en améliorant la pertinence des résultats de recherche, les entreprises peuvent réduire leur dépendance à la publicité payante pour attirer des visiteurs sur leur site Web.

En somme, le SAIO offre de nombreux avantages pour les entreprises, notamment une amélioration de la satisfaction client, une augmentation des taux de conversion et une réduction des coûts publicitaires. Le SAIO peut également aider les entreprises à améliorer leur visibilité en ligne et à renforcer leur présence sur les moteurs de recherche.

Quelles peuvent être les limites de cette pratique ?

Malgré les avantages du SAIO, il existe également des limites à cette technologie, notamment :

  1. La qualité des données d’entraînement : le SAIO repose sur des données d’entraînement pour apprendre à fournir des résultats de recherche pertinents. Si ces données sont de mauvaise qualité ou biaisées, cela peut affecter la qualité des résultats de recherche.
  2. La compréhension des requêtes complexes : bien que le SAIO soit capable de comprendre les requêtes longues et complexes, il peut encore avoir du mal à comprendre certains types de requêtes, ce qui peut conduire à des résultats de recherche moins pertinents.
  3. Le manque de transparence : les algorithmes de recherche utilisés par le SAIO peuvent être difficiles à comprendre pour les utilisateurs, ce qui peut rendre difficile de savoir comment les résultats de recherche sont générés.
  4. La confidentialité des données : le SAIO utilise souvent des données personnelles pour personnaliser les résultats de recherche, ce qui peut soulever des préoccupations en matière de confidentialité et de sécurité des données.

En somme, bien que le SAIO offre de nombreux avantages, il est important de reconnaître ses limites. Les entreprises doivent travailler à garantir la qualité des données d’entraînement, à améliorer la compréhension des requêtes complexes, à augmenter la transparence des algorithmes de recherche et à protéger la confidentialité des données des utilisateurs.

Comment migrer de Universal Analytics à Google Analytics 4 ?

À compter du 1er juillet 2023, la version actuelle Universal Analytics ne sera plus à même de traiter les données des sites internet. Prendra place, une autre version améliorée et plus conforme aux besoins des internautes. Toutefois, sauf abandon de l’outil, vous vous devez de planifier au mieux la migration de vos données d’Universal Analytics vers Google Analytics 4. Voici pour vous aider, l’essentiel des informations afin que la migration se déroule comme il faut.

Fin annoncée de Universal Analytics : la fin d’une ère !

C’est tout un pan du web qui va se trouver modifier. En fonction depuis 2012, la version actuelle de Google Analytics, également appelée Universal Analytics, va s’estomper courant 2023. Ainsi, l’ensemble des données historiques seront purement et simplement effacées au 31 décembre.

À compter du 1er juillet, la version gratuite de l’outil ne traitera plus la data. Pour sa version payante, elle devrait aussi cesser de fonctionner au 1er octobre. Une nouvelle qui n’est pas vraiment surprenante. En effet, depuis 2020, la version bêta de Google Analytics 4 existe.

Aussi, les updates d’Analytics sont réguliers depuis l’acquisition en 2005 de Urchin Software Corporation par Google. Passer à Google Analytics 4 représente ainsi une croissance normale, qui suit le tempo des modifications de l’univers digital. Les raisons de tout ceci sont à trouver aussi bien d’un point de vue technique que juridique.

Les causes techniques

D’un point de vue technique, Universal Analytics ne trouve plus d’issues aux problématiques des utilisateurs comme par le passé, à son arrivée et les années qui ont suivi. Google Analytics 3 a été pensé pour une conception de mesures orientées navigation via desktop, sur des sessions indépendantes, et en reposant sur les cookies en majorité.

Un modèle qui de plus en plus laisse place à une nouvelle logique de la data analyse, basé essentiellement sur l’omnicanalité qui est de mise s’agissant de navigation, donc de sélection et de croisement des données.

Face à tout ceci, Google Analytics 4 propose des solutions pratiques en identifiant mieux les utilisateurs multi-appareils et multi-navigateurs. Cela empêche de les dupliquer et offre la possibilité de mieux cerner leurs agissements à travers son interfaçage avec Firebase, la plateforme applicative.

Les causes juridiques

D’un point de vue juridique, Google Analytics 4 est obligé de prendre en compte l’évolution des règles concernant la sécurisation des données personnelles. Cette récente version de l’outil ne se base pas sur les cookies. Elle repose plutôt sur un modèle de données fondées sur les événements.

Mieux, Google Analytics 4 permet de ne point stocker les adresses IP. Absolument tout est donc mis en œuvre pour rester entre les lignes tracées par les textes en vigueur et pour aider les utilisateurs à rester dans les canevas établis. Utiliser Google Analytics 4, c’est donc avoir les habitudes les plus récentes s’agissant de navigation.

C’est aussi résoudre les difficultés juridiques qui proviennent de la récolte et du traitement des données personnelles des utilisateurs. Il s’agit d’une version qui devrait tout autant alléger le travail de toutes les personnes chargées de l’analyse de la data au sein des structures et agences digitales.

Les nouveautés embarquées par Google Analytics 4

Google pointe, sur sa page dédiée, les nombreuses innovations de Google Analytics 4. Il s’agit de la collecte des données à partir des sites web et des applications. Ceci dans le but de donner une compréhension accrue du parcours client par l’intermédiaire d’une analyse fédérée des multiples canaux. De la sorte, il sera alors aisé de traquer un seul et même événement depuis des plateformes diversifiées.

Il y a aussi l’exploitation des données reposant sur les événements réalisés, pendant qu’Universal Analytics se base sur les sessions et les usagers. Les événements prennent en compte la totalité des variables désirées, sous une seule et même enseigne.

A cela, on peut ajouter l’insertion de paramètres de confidentialité. Ces derniers se reposent sur les besoins légaux s’agissant de protection des données. Le machine learning rend possible ces diverses fonctionnalités prédictives. De surcroît, Google Analytics 4 offre d’anonymiser les adresses IP pour un contrôle excellent des données utilisateurs.

Google Analytics 4 permet aussi l’intégration directe aux plateformes multimédias. Objectifs, simplifier les gestes réalisés depuis un site web ou une application, y compris Google Ads. De quoi permettre une bonification des performances des campagnes.

Pour finir, on peut aussi signaler la mise sur pied d’une interface plus appropriée aux besoins des utilisateurs, dans le but d’atteindre une expérience maximale. Autrement dit, plus de vues et de segments pour peu de rapports, rapports orientés sur le cycle de vie du client, interface plus intuitive, entre autres.

Pourquoi anticiper la migration vers Google Analytics 4 ?

Tout en sachant que la version actuelle de Google Analytics aura disparu à compter du 1er juillet 2023, il est important de vite s’y préparer. En effet, dans l’analyse de données, il est essentiel de se fonder sur une période vraiment longue.

Ceci, dans le but de favoriser des examens comparatifs avec une période précédente. Ainsi, il est recommandé de faire une analyse d’une année sur l’autre. L’idéal serait donc d’avoir un historique sur un an pour également assurer une adoption aussi fluide que possible en interne.

Comment assurer sa migration vers Google Analytics 4 ?

Afin d’assurer la migration vers Google Analytics 4, il faudra ajouter une nouvelle fonction à celle d’Universal Analytics existante. Cette dernière poursuivra la collecte des données sans modification jusqu’à la fin de Google Analytics 3. Vous pourrez ainsi avoir accès aux deux fonctions depuis le sélecteur de fonction. Gardez à l’esprit que la nouvelle propriété n’ajoute pas les données de l’historique.

L’outil se charge de vous donner l’ensemble des instructions requises mais il est recommandé de réaliser la migration par un professionel du métier.

S’agissant d’un site web hébergé par un CMS, il est possible que vous n’ayez pas la balise gtag.js.

Il faudra d’abord l’installer par le tableau de bord du CMS sur les pages désirées. Vous n’aurez toutefois nul besoin de supprimer la balise existante.

Cela vous permettra de continuer la collecte des données pour Google Analytics 3. Au cas où la balise est déjà employée, il faudra activer la collecte de données. Ceci, par le biais des balises existantes gtag.js utilisées au même moment pour les deux versions de Google Analytics.

Après plusieurs procédures, il vous sera possible d’expédier les données de votre propriété Universal Analytics vers votre nouvelle propriété Google Analytics 4. Cela est possible de façon manuelle depuis l’interface de l’outil ou automatiquement en utilisant BigQuery.

Afin d’assurer le succès de votre migration, pourquoi ne pas faire appel à des experts du web et plus particulièrement à des trafic manager et gestionnaires de performances ? Chez Tamento, nous avons les experts qu’il vous faut ! Alors pas d’inquiétude, migrez en toute tranquillité !

Les nouveautés 2021 de Google Ads

La régie publicitaire de Google évolue de jour en jour avec l’aide des nouvelles technologies et de l’accroissement de la part de marché du géant américain.

Découvrons ensemble quelques nouveautés pour perfectionner et optimiser vos campagnes publicitaires et générer plus de conversions.

Les campagnes Discovery

Google Discovery Ads est le nouveau format d’annonces publicitaires basé sur la découverte de produits et/ou services.

Ce qui caractérise ce format est principalement sa forte empreinte liée aux visuels.

C’est donc une offre qui se compose d’une annonce avec un titre, une description et une (ou plusieurs) images.

Les annonces contiennent un lien redirigeant sur une adresse web de destination diffusées sur Google Discover, Gmail et le réseau social Youtube. Les campagnes Discovery sont un peu différentes des autres car elles ne ciblent pas des mots-clés, mais des audiences.

Ce format est fait pour mettre en avant des images de qualité en haute définition et responsive, afin de donner une perception visuelle très esthétique.

Ce type de campagne est semi-automatisé (un peu trop rigide pour certains) car Google se charge de la diffusion de votre campagne, du respect de votre budget ainsi que de votre cout par acquisition. Cependant, il est vrai que ce format peut être un peu étonnant car vous n’avez pas le choix des emplacements, la stratégie d’enchère manuelle, le mode et la fréquence de diffusion, ou encore le ciblage contextuel.

Cette nouvelle offre est par conséquent très pratique pour mettre en avant des contenus très qualitatif et attirer l’oeil de l’internaute rapidement.

Les listings Google Shopping gratuits

Le format Google Shopping est encrée depuis de nombreuses années maintenant et fait parti du quotidien des internautes. Pour aller plus loin, Google Shopping a ouvert une fonctionnalité : les listings gratuits Google Shopping afin de donner la possibilité aux marchands d’afficher leurs produits sur Google Merchant Center.

A titre d’exemple, en recherchant le mot clé « huiles essentielles » sur Google Shopping, on peut voir sur le visuel ci-dessous les premiers résultats payants sous le mot « annonces » et sous ces résultats, nous avons les résultats gratuits.

Local Inventory Ads : retrait sans contact

Pour rappel, le Local Inventory Ads, appelé également Google LIA, permet d’afficher des annonces sur Google Shopping en promouvant l’inventaire d’un commerce afin de savoir si le produit que vous souhaitez est disponible en magasin à proximité.

Afin de déclencher ces annonces, l’internaute doit avoir recherché une requête contenant un ou des mots de géolocalisation (ex : à proximité, à paris…).

Voici un exemple ci-dessous pour une recherche concernant des robots de cuisine à Lyon.

Jusqu’ici, rien de nouveau, mais une nouvelle fonctionnalité à vu le jour cette année : le retrait sans contact.

La fonctionnalité est disponible aux annonceurs ayant complété le paramétrage de leurs annonces « Produits en magasins » et qui utilisent la fonction « Retrait en magasin » (étant interprété par les méthodes de retrait sans contact).

Développer les extensions de formulaires

La régie publicitaire Google Ads a déployer une extension de formulaire plus performante que jamais. Pour ainsi dire, grâce à cette nouveauté, vous pouvez créer des formulaires optimisés pour acquérir des leads avec des données qualifiés qui entreront directement dans votre CRM (customer relationship manager).

Le fonctionnement est très simple : l’internaute peut directement donner ses coordonnées sous votre annonce dans le moteur de recherche. Vous pouvez collecter en tant qu’entreprise uniquement ces données (pour le moment) :

  • nom
  • prénom
  • email
  • numéro de téléphone
  • code postal

Le petit plus de cette extension reste tout de même l’autocomplétion des données enregistrées sur votre compte Google qui est un vrai gain de temps.

Ce type d’extension permet à l’internaute de ne pas perdre de temps et trouver directement de quoi entrer en contact avec vous. Par conséquent, ces formulaires sont de vrais outils à ne pas négliger pour votre business !

Enfin, au cours de cette année, les extensions se sont déployées à d’autres endroits : YouTube, annonces Discovery et les campagnes Google Display.

Mise à jour des requêtes larges

Pendant le premier trimestre 2021, Google a annoncé la suppression du modificateur de requête large, qui s’intégrera aux requêtes dites en expressions exactes. Google a dit : nous avons remarqué que le modificateur de requête large et l’expression exacte sont souvent utilisés dans les mêmes cas, et que vous pouvez atteindre un plus grand nombre de clients grâce à une combinaison des deux ». C’est pourquoi le géant américain a pris la décision de fusionner les deux types de requête.

Les bénéfices de cette intégration sont considérables, tant pour les internautes que pour les entreprises.

Concrètement, cette modification apportée va permettre des résultats en cohérence avec les recherches des internautes. En effet, cette mise à jour continue de respecter l’ordre des mots lorsque la signification est importante. C’est un vrai gain de temps pour les entreprises dans la gestion de leurs campagnes.

Source : BDM

Vous l’aurez compris, cette évolution est un moyen de faciliter les choses pour chaque partie et de redonner un sens aux mots utilisés dans les requêtes des internautes.

Pour découvrir les nouveautés à venir pour 2022, restez attentifs, un article sortira bientôt sur le sujet…

Google Ads : un allié pour votre entreprise

Qu’est-ce que Google Ads ?

Tout commence en l’an 2000 : La régie publicitaire de Google voit le jour sous le nom de Google Adwords.

Grâce à la réactivité de su géant américain, Google Adwords prend de l’ampleur et devient LA régie publicitaire par excellence. Toutes les grandes entreprises s’en empare pour diffuser des annonces sponsorisées sur le moteur de recherche Google et ces déclinaisons : ordinateurs et mobiles, applications, display et search, sites web partenaires, mais également sur les réseaux sociaux.

Si les grandes entreprises avaient le monopole auparavant, ce n’st plus le cas aujourd’hui. En effet, de nos jours mêmes les plus petites entreprises ont recours à la régie publicitaire Google Adwords, renommé en Google Ads depuis 2018.

Et ce n’est pas pour rien que les indépendants, TPE et PME ont choisi Google Ads. En effet, la régie publicitaire de Google propose un minimum de 0,01€ sur une enchère, ce qui peut correspondre même aux plus petits budgets.

Le gain de notoriété et de visibilité grâce à la plateforme de Google est indéniable et les entreprises le savent.

Par conséquent, l’objectif de Google a été de développer la plateforme sur différents supports et formats pour continuer de séduire son audience. C’est pourquoi Google développe le programme Google Adsense, un outil complémentaire à la régie. Ce nouveau programme a permis aux éditeurs de site web de publier des encarts publicitaires sur leurs pages ou des vidéos : un excellent moyen de monétiser leur trafic.

On parle alors de GDN : Google Display Network, étant la définition des publicités de type display, en opposition à celle du search (annonce textuelle uniquement, pas de médias).

Comment fonctionne la régie publicitaire de Google ?

Google Ads a pour objectif de répondre aux besoins de ses clients en répondant aux besoins des clients de ses clients. En somme, la plateforme doit afficher des annonces en lien avec le secteur d’activité, la liste de mots-clés, la zone géographique et le budget de ses clients.

annonce google ads

La partie très importante de Google Ads est l’élaboration d’une liste de mots-clés optimisés pour le référencement dans le moteur de recherche.

Mais en réalité, comment créer des annonces publicitaire grâce à la régie publicitaire Google Ads ?

Etape 1 : Définir votre objectif de campagne

Selon vos besoins, les objectifs de votre campagne ne seront pas les mêmes selon si vous avez à coeur d’obtenir des devis, de recevoir des appels, d’augmenter les visites en magasin ou encore d’accroitre votre traffic sur votre site web.

Les objectifs peuvent être intéressant pour définir les mots-clés que vous allez utiliser, mais il arrive que les objectifs prédéfinis soient un freins à vos yeux et dans ce cas précis, vous pouvez tout à fait ne pas définir d’objectif en cliquant sur la case « créer une campagne sans objectif spécifique ». (cf la photographie ci-dessous).

Etape 2 : Sélectionnez un type de campagne

Il existe différents types de campagne, défini par des formats bien distincts.

  • Réseau de recherche (Search)
  • Réseau Display
  • Shopping
  • Vidéo
  • Intelligente
  • Discovery
  • Locale
  • Application

Le type de campagne à sélectionner va dépendre du type d’emplacement que vous préférerez selon votre objectif.

Une fois les paramètres généraux choisi, vous pouvez passer à l’étape suivante : la géolocalisation.

Etape 3 : Définir votre ciblage et segments d’audience

Trois critères interviennent dans cette étape :

  • Les zones géographiques à cibler : cela peut être tous les pays et territoires, uniquement votre pays où vous vendez vos produits / services, une région, un code postal, une ville, etc. Vous pouvez même ajouter une option sur votre cible selon si elle est présente dans la zone que vous avez sélectionné ou seulement si elle est intéressé par cette zone, ou les deux.
  • Les langues : il est pertinent de sélectionner les langues parlées par vos clients afin de les cibler au mieux et de ne pas perdre une partie de celle-ci.
  • Les segments d’audience : ils contiennent de nombreux critères qui vous permettent de préciser le plus finement votre cible (cf ci-dessous)

Etape 4 : Le budget et les enchères

Dans cette partie, vous devez définir combien vous êtes prêt à dépenser et comment.

Selon votre budget que vous allez allouer à votre campagne, vos résultats fluctueront. En effet, si vous avez une campagne sur un mois à 100€, vous obtiendrez moins de résultats qu’une campagne mensuelle avec un budget de 1000€.

Cependant, même avec un petit budget, vous pouvez faire de belles choses si vos mots-clés sont pertinents.

De plus, vous pouvez choisir le type d’enchère sur lequel vous voulez vous positionner :

  • Conversion (recommandé)
  • Valeur de conversion (recommandé)
  • Clics
  • Taux d’impressions

Et si vous souhaitez aller plus loin, vous pouvez même sélectionner des stratégies d’enchères automatiques :

  • Maximiser les clics
  • Maximiser les conversions
  • Maximiser la valeur de conversion
  • Taux d’impression cible

Etape 5 : Les extensions d’annonces

Ce que l’on appelle une extension d’annonce est une extension sous votre annonce contenant des informations supplémentaires que vous souhaitez mettre en valeur. Ces extensions d’annonces peuvent vous donner une chance d’augmenter jusqu’à 15% votre taux de clics.

  • Extensions Liens annexes : ajoutez des liens complémentaires en lien avec votre annonce
  • Extensions d’accroche : ajoutez des informations supplémentaires sur votre entreprise
  • Extensions d’appel : ajoutez le numéro de téléphone de votre société pour que vos prospects vous contactent directement
  • Extensions d’application : ajoutez le lien vers votre application pour que les utilisateurs puissent la télécharger directement

Lorsque vous serez arrivé à cette étape, vous aurez déterminé les paramètres de votre campagne.

A présent il va falloir créer vos groupes d’annonces.

Etape 6 : Création de vos groupes d’annonces

Un groupe d’annonce contient le nom du groupe ainsi que ses mots-clés. Par exemple, si vous avez créer une campagne de trafic vers vos produits, vous aurez des groupes d’annonces avec le titre de vos produits pour chaque groupe, ainsi que les mots-clés associés à ce produit. (cf l’image ci-dessous).

Etape 7 : Création de vos annonces

Après que vous ayez créé vos groupes d’annonces, il est temps de créer les annonces pour chaque groupe d’annonce.

Pour ce faire, vous devez renseigner plusieurs titres (5 recommandés au minimum) afin de générer plusieurs annonces en A/B testing et optimiser vos chances de remplir vos objectifs. De plus, vous avez une aide qui vous permet de prévisualiser l’efficacité de votre annonce, avec des mots-clés que vous pouvez intégrer.

De plus, vous pouvez renseigner une description qui s’affichera en dessous du titre de votre annonce.

Il ne vous reste plus qu’à renseigner des descriptions pour vos annonces et vous aurez finalisé la création de votre campagne Google Ads.

L’importance du référencement local pour votre entreprise

Qu’entend-on par référencement local ?

Pour rappel, le travail de référencement consiste à améliorer le positionnement et la visibilité des sites dans les pages de résultats de moteurs de recherche, d’annuaires, de places de marché ou de comparateurs de prix.

Le référencement local, lui, regroupe toutes les techniques et actions qui visent à positionner un site dans les pages de résultats des moteurs correspondants à une requête localisée du type « Renault Croix-Rousse » ou « Garage Lyon 4 ». Aujourd’hui, le référencement local d’une entreprise est pour beaucoup possible grâce à Google My Business.

En quelques chiffres :

  • 61 % des requêtes mobiles sont géolocalisées;
  • 97 % des consommateurs recherchent une entreprise locale sur les moteurs de recherche;
  • 70 % des internautes consultent les informations d’un établissement avant de passer à l’acte d’achat.

De plus, les internautes ne consomment plus les informations de la même manière qu’il y a quelques années en arrière. En effet, ils ne vont plus sur la deuxième page de résultats des moteurs de recherche, car ils se positionnent le plus souvent sur les 5 premiers résultats.

Et sur mobile ?

Comme nous pouvons le constater, la majorité des internautes effectuent leurs recherches via un mobile avant d’effectuer un achat. Les modes de consommation sont devenus locaux.

Qu’est-ce que Google My Business ?

Google My Business est un service gratuit à destination des personnes disposant d’un établissement et souhaitant apparaître dans les encadrés Google pour des recherches telles que “restaurant”, “hôtel”, “cabaret”, “plombier”, “association locale”, “service X ou Y”, etc.

Ces encadrés, appelés “Box Google”, vous indiquent normalement le nom, l’adresse (avec la localisation Google Maps en général), les horaires et les avis pour un établissement donné, à minima.

C’est donc un levier qui vous permet d’obtenir de nouveaux clients et/ou visiteurs, que vous travailliez en ligne ou non car le référencement local est essentiel aujourd’hui.

Donc la création d’un profil Google My Business (GMB) fait intégralement partie des efforts de positionnement des entreprises locales. Cet outil vous aide à contrôler la façon dont votre société apparaît dans les recherches et sur Google Maps, et vous permet aussi d’apparaître plus en tête des résultats de recherche.

En quoi est-ce utile pour mon entreprise ?

  1. L’usage de la recherche d’entreprise est associé à sa géolocalisation. Votre référencement local est primordial pour apparaître dans les premières position Google et être vu par les internautes le plus rapidement possible.
  2. Google My Business comprend la fonction “Question / Réponse”, qui permet à l’internaute d’obtenir des informations plus rapidement.
  3. Votre profil GMB permet de donner des avis sur votre entreprise, et par conséquent, donner des éléments aux clients de faire affaire avec vous et d’avoir confiance envers votre marque.
  4. La fiche Google My Business est ce que l’on voit en premier lors d’une réponse à une requête, ce qui signifie un gain de clic sur votre site web et donc de trafic.

Pour qui est-ce utile ?

Les créateurs d’entreprise

Vous venez de commencer une toute nouvelle activité professionnelle ? Il vous manque forcément de la notoriété et de la visibilité. C’est pourquoi une fiche Google My Business vous sera très utile.

Les TPE / PME

Votre fiche Google My Business peut être une porte d’entrée sur votre site web pour vos visiteurs, vous amenant du trafic qualifié et générant potentiellement des leads. Vous ne pouvez pas vous en passer.

Les grands groupes

Une entreprise de votre taille se doit de créer une proximité avec ses clients. La fonctionnalité des avis et commentaires clients sur votre profil Google My Business est idéal pour votre image de marque.

Comment ajouter un utilisateur sur Google Analytics ?

Que ce soit pour suivre les retombées d’une campagne, l’évolution du trafic d’un site ou encore pour améliorer le référencement de ce dernier, l’outil Google Analytics propose de nombreuses fonctionnalités, dont l’ajout d’un ou plusieurs utilisateurs sur un compte.

Cette fonctionnalité permet d’intégrer des membres d’une équipe sur un même compte Google Analytics afin d’optimiser les performances et l’efficacité sur un projet.

Le processus est relativement simple.

utilisateur GA

1 – Techniquement, comment faire ?

Après s’être connecté à votre compte Google Analytics, vous pouvez ajouter un utilisateur. Il vous suffit de cliquer sur l’icône « Administration » situé en bas à gauche de votre page. Par la suite, dans l’onglet Admin, trois colonnes apparaissent avec les intitulés suivants : compte, propriété et vue.

  • Compte :  Représente votre point d’accès à Analytics. Une entreprise peut avoir un ou plusieurs compte Analytics. Il comprend le numéro de votre compte, le nom du compte, le pays où vous exercez votre activité ou encore les options de partage de données. C’est à partir du compte que vous allez pouvoir choisir les propriétés.

COMPTE

  • Propriété : Désigne un site Web, une application mobile ou un appareil. Un compte peut comporter une ou plusieurs propriétés. Lorsque vous ajoutez une propriété à un compte, Google Analytics génère un code de suivi afin de collecter des données à partir de cette propriété. Ce code contient un identifiant unique pour les données provenant de cette propriété. Il vous permet de reconnaître facilement ces données dans vos rapports.

propriété

  • Vue : Constitue votre point d’accès aux rapports. Il s’agit d’une vue définie des données d’une propriété. Par exemple, vous pouvez définir une vue sur un objectif précis, sur les canaux que vous souhaitez, sur des paramètres d’e-commerce (si besoins), etc…

vues

Choisissez l’emplacement de votre choix pour ajouter un nouvel utilisateur. Après cette étape, vous trouverez la catégorie « gestion des utilisateurs du compte » qui va vous permettre de gérer les différents membres que vous souhaitez intégrer à l’outil Google Analytics.

Cliquez sur le bouton « + » en haut à droite pour ajouter un utilisateur.

Enregistrez l’adresse email du nouvel utilisateur et ajoutez-lui les autorisations dont il aura besoin en cochant les cases ci-après.

Lorsque ces étapes ont été réalisés, cliquez sur le bouton « ajouter », en haut à droite.

Félicitations ! Le profil utilisateur a été créé, vous pouvez désormais le retrouver avec les autres utilisateurs ayant accès au compte Google Analytics et voir les autorisations qui lui ont été accordé.

2 – Les différents types d’autorisations

Chaque utilisateur n’a pas les mêmes besoins et donc pas les mêmes droits d’accès. Par conséquent, vous allez accorder des droits différents selon les types de profils et d’utilisation de Google Analytics.

Voici les quatre profils d’autorisation ci-dessous :

  • Modifier : Les utilisateurs peuvent créer et modifier certains aspects du compte comme des propriétés, des vues, des filtres ou encore des objectifs mais ils n’ont pas accès à la gestion des autres utilisateurs.
  • Collaborer : Les utilisateurs peuvent créer et modifier des éléments partagés comme des tableaux de bord ou des annotations.
  • Lire et analyser : Les utilisateurs peuvent consulter les données de rapport et de configuration telles que l’audience, l’analyse du trafic ou encore les retombées des campagnes publicitaires.
  • Gérer les utilisateurs :  Cette fonctionnalité permet d’ajouter, modifier ou supprimer d’autres utilisateurs et leurs autorisations.

utilisateur GA

Il est possible de cocher une seule case, plusieurs, ou toutes les cases si besoin.

Vous pouvez évidemment modifier à tout moment les droits d’accès des utilisateurs (si vous êtes administrateur du compte ou que vous avez le profil « gérer les utilisateurs »).  Pour ce faire, il vous suffit de retourner dans les paramètres du compte Google Analytics concerné, cliquer sur l’onglet « gestion des utilisateurs du compte » et sélectionner l’utilisateur en question. Son profil et sa liste d’autorisations vont apparaitre sur votre écran. Vous pouvez, à ce moment, cocher ou décocher les cases que vous souhaitez.

3 – Ajouter un groupe d’utilisateur

Il est courant d’ajouter tous les membres d’une équipe en même temps. Si vous deviez créer utilisateur par utilisateur, ce serait une perte de temps. C’est pourquoi, Google Analytics est doté de la fonction « ajouter des groupes d’utilisateurs ».

Cette fonction est uniquement réservée aux groupes d’utilisateurs liés à des entreprises Google Marketing Platform.

Prochainement, un article pour vous expliquer ce qu’est Google Marketing Platform.

 

 

 

 

Les principes de base d’un bon référencement – Partie 3

Le référencement sémantique est la base :

Le référencement technique est important : pour optimiser son site web, vous devez entrer dans son code source, examiner les performances de vos serveurs, etc.

Règle n°1 : Noms de domaine et redirection 301

Dans un premier temps, contrairement aux croyances populaires, la signification de votre nom de domaine n’a que très peu d’impact sur le référencement. Le seul avantage de posséder un nom de domaine générique comme par exemple « vtc-paris.fr » est que la Meta Title Google de votre page d’accueil pourrait être « VTC Paris : les meilleurs conducteurs à la demande à Paris ». C’est ce qui apparaît directement dans le résultat Google.  

N’oubliez pas que le premier mot aura plus d’impact aux yeux de Google que le second, et le second que le troisième, etc. De plus, avoir un nom de domaine court est une bonne chose, car ce sont les 65 premiers caractères d’un titre Google qui sont le plus pris en compte.

Mais une fois que vous avez un nom de domaine comme « vtc-paris.fr », je vous conseille acheter ses variantes : sans le tiret, le .com, au singulier et au pluriel… Cela vous permettra d’entraver la concurrence potentielle de montrer à Google que vous investissez dans une meilleure expérience pour les utilisateurs qui tapent la mauvaise URL, en incluant ou non le tiret, par exemple.

Si vous avez plus d’un nom de domaine, choisissez un nom de domaine principal et faites-en sorte que le ou les domaines supplémentaires redirigent vers le site principal. On appelle cela une ‘‘redirection 301’’.

Notez également que l’ancienneté d’un nom de domaine est un critère important pour Google. En effet, lorsque Google indexe votre nom de domaine dans son moteur de recherche, il atteste que ce site est en ligne et qu’il a un contenu pertinent. Donc montrer à Google que votre site est en ligne depuis de nombreuses années revient au même principe que de vous forger une bonne réputation dans votre secteur : les gens vous font confiance et se sentent mieux de vous recommander.

Règle n°2 : effectuez régulièrement des scans sitemap.xml de votre site via votre Google Search Console

Un sitemap est un fichier dans lequel vous pouvez lister les pages web de votre site afin de fournir aux moteurs de recherche des informations sur la structure du contenu de votre site. Les crawlers des moteurs de recherche comme Googlebot lisent ce fichier pour mieux explorer votre site.

Il peut être judicieux de mettre en évidence vos différentes images et créer un plan de site spécifique pour celles-ci, en utilisant les balises d’images suivantes :

<url> : la balise qui inclut toutes les informations sur une seule URL

<loc> : l’URL où se trouve l’image (html)

<image : image> : la balise qui comprend toutes les informations sur une image+

<image : loc> : l’URL de l’image. Notez que cela peut provenir d’un autre champ.

<image : caption> : légende de l’image. Utilisez des termes optimisés pour le référencement.

<image : geo_location> : l’endroit où l’image a été prise (pas toujours pertinent)

<image : title> : l’attribut title de l’image

<image : licence> : URL qui renvoie à la licence de l’image

Règle n°3 : la profondeur des pages de votre site est essentielle

La profondeur des pages d’un site détermine la facilité avec laquelle le moteur y accède depuis la page d’accueil. Les pages stratégiques doivent être accessibles en un nombre minimum d’étapes. Au-delà du 3ème niveau d’accessibilité, c’est-à-dire au-delà de 3 clics, la page est considérée comme difficile d’accès.

Règle n°4 : Personnalisation des pages d’erreur 404

L’optimisation de la page d’erreur 404 est essentielle car elle peut être l’occasion de rediriger les utilisateurs vers des pages stratégiques. Son optimisation peut également contribuer à améliorer l’exploration du site, par le biais de liens vers les principales catégories et à garder l’utilisateur sur votre site.

Règle n°5 : Assurez-vous que le temps de chargement de votre site, sur différents appareils, est rapide

Pour vous assurez que le temps de chargement de votre site est bon, et ce sur différents appareils, utilisez cet outil Google pour l’analyser.

Et attention à la version mobile responsive qui doit être optimisée afin de ne pas charger d’un seul coup tout le site sur un appareil mobile, mais des parties au fur et à mesure que l’utilisateur scroll. Cela évitera un temps de chargement trop long.

Règle n°6 : Optimisez vos images

Bien optimiser vos images vous permettra d’avoir un contenu homogène et de qualité. On est toujours dans l’objectif d’avoir un contenu aussi agréable à lire pour l’internaute qu’optimisé pour les moteurs de recherche.

Elles peuvent améliorer le référencement d’une page web et peuvent aussi être référencées dans Google Image, source supplémentaire de trafic.

Les moteurs de recherche ne savent pas lire le contenu d’une image. De ce fait, chaque image se doit d’avoir une description alternative. L’attribut ALT signale aux moteurs de recherche le contenu de l’image auquel il est rattaché. Faites donc des descriptions courtes et comportant si possible les mots-clés.

On vous met à disposition nos outils pour optimiser vos images. Utilisez cet outil pour les JPG, celui-ci pour les PNG et celui-là pour les PDF.

Règle n°7 : Javascript, c’est comme courir en portant un canapé.

Lorsqu’un navigateur web rencontre du code Javascript en interprétant le code source d’une page web, cela peut considérablement ralentir l’affichage de la page, surtout si le téléchargement d’un script externe est nécessaire. Évitez autant que possible l’utilisation de Javascript pour assurer un affichage rapide de la page.

Comment ? Si possible, utilisez l’une des techniques suivantes pour faire appel à des fichiers externes :

  • utilisez l’attribut async 
  • utilisez l’attribut defer
  • ajoutez le script dans le DOM en Javascript pendant l’événement onload

Pensez bien à placer les scripts à la fin de votre code source et idéalement à la fin du <corps>.

Règle n°8 : utilisez l’attribut hreflang pour indiquer à Google la langue de votre site

Cet attribut vous permet d’adapter votre page en fonction d’où se trouve la personne qui la consulte. Cette fonction sert à rediriger les internautes vers la version linguistique la plus appropriée. Cela peut être utile pour toucher des prospects à l’étranger mais attention à avoir les compétences pour répondre à leurs besoins. En effet si la page sert au e-commerce par exemple vous pourrez avoir des demandes de différents pays auxquels vous devriez être en mesure de faire face.

Règle n°9 : Assurez-vous que chaque élément CSS utilise son propre identifiant

Pour rappel le CSS signifie feuille de style en cascade (cascading style sheet).

L’utilisation du même identifiant pour deux éléments CSS différents peut entraîner des effets de bord, en particulier lors de l’exécution de Javascript ou de l’application de règles CSS.

Que faut-il faire ? Assurez-vous que rien sur la page n’a le même identifiant. Si vous souhaitez partager des propriétés/comportements entre plusieurs éléments, vous devrez utiliser la classe d’attributs :

<p> <span class = « mySpans »> </ span> <span class = « mySpans »> </ span> </ p>

Règle n°10 : Indiquez vos microdonnées !

Pour la visibilité, vous devez indiquer vos microdonnées, elles sont très importantes pour le référencement : https://schema.org/

Elles aideront Google à identifier votre organisation et votre entreprise et vous permettront d’obtenir des « rich snippets » dans les résultats de Google.

En général, les microdonnées sont utiles pour classer votre activité en fonction de la bonne volonté de Google, favorisant ainsi votre visibilité dans les SERP.

 

Vous pouvez utiliser cet outil pour analyser votre utilisation des microdonnées sur votre site.

Le balisage de schema.org est facile à mettre en place. Un outil existe dans la console de recherche, mais rien n’est plus fort que le code, d’autant plus qu’il est très simple à mettre en place.

Par exemple, pour marquer un hôtel :

<div itemscope itemtype = « http://schema.org/Hotel »> <span itemprop = « name »> Nom de l’hôtel </ span> <span itemprop = « description »> description de l’hôtel </ span > <img itemprop = « image » src = « http : //Images/hotel.jpg » /> </ div>

Schema.org change la donne, je vous le promets.

Organiser une page

  •   Pour les moteurs de recherche le début d’une page web à plus de poids que sa fin. Il faut donc organiser ses contenus stratégiquement pour que les mots-clés sur lesquels vous souhaitez vous positionner apparaissent en haut de page.
  •     La mise en gras (STRONG) doit se faire de manière modérée afin de faire ressortir les mots ou expressions importants pour votre référencement.
  •     Les balises H1 à H6 sont probablement les plus importantes de l’ensemble du texte d’une page web. La balise H1 (une par page) est celle qui a le plus de valeur pour le référencement. Pour les moteurs de recherche, les balises H1 à H6 n’ont pas toutes la même influence. Les balises H1, H2 et H3 ont une véritable influence sur le référencement. Au-delà elles ont un rôle esthétique et ergonomique.

La balise title

80% du référencement d’une page est représenté par cette balise, d’où sa grande importance. Unique, elle ne se voit pas dans une page mais les mots-clés insérés sont ceux que les moteurs de recherches reportent systématiquement dans leur index pour l’affichage de ses résultats.

Optimisation de la balise TITLE

  •     Une balise TITLE différente par page. La balise TITLE doit refléter le plus possible le contenu de la page.
  •   Une balise TITLE n’est pas une succession de mots-clés en rapport avec votre activité mais une phrase attractive et « accrocheuse » contenant des mots-clés ciblés. Il faut donner envie à l’internaute de cliquer.
  •   La balise TITLE doit contenir obligatoirement vos mots-clés les plus importants avec un sens d’importance de gauche à droite par rapport au sens de lecture des moteurs de recherches.
  •   STRUCTURE : « phrase (avec mot-clé) + nom du site »
  •   La balise ne doit pas comporter plus de 65 caractères environ.

Les principes de base d’un bon référencement – Partie 2

Les bonnes pratiques pour optimiser son référencement :

1- Utiliser les outils Google

Pour commencer, connectez votre site aux outils Google. Google met à votre disposition plusieurs services pour vous aider à optimiser votre site web. Chez Tamento, lors de la mise en ligne d’un site nous connectons votre site sur Google Analytics & la Search console.

Vous pouvez également ajouter Google My Business à la liste.

Ces outils vont récolter et analyser les données de votre site pour ensuite vous classer dans les résultats des requêtes qui vous correspondent.

Google analytics : C’est un outil d’analyse d’audience (nombre de visiteurs, données démographiques et géographiques, source du trafic…)

Search Console : C’est un outil qui permet de vérifier l’indexation d’un site web sur Google. Google scanne le site et le référence dans ses résultats de recherches.

Google My Business : C’est un service qui vous permettra de contrôler les informations sur votre entreprise, sur les résultats Google (adresse, contact…). Votre compte Google My Business bien complété vous permettra d’être référencé dans les résultats de recherches géolocalisés.

2- Site mobile-friendly

Regardez autour de vous, dans les transports, dans la rue… les gens sont sur leur smartphone. Si vous n’avez pas de version mobile, allez en créer une. Google a déjà commencé à rétrograder les sites qui ne le sont pas.

3- Sécurisez votre site avec un certificat SSL (de http à https)

De plus en plus de navigateurs comme Google Chrome bloquent les sites en http, qu’ils considèrent comme peu sûrs. Vous devez donc disposer d’un certificat SSL pour sécuriser votre site sinon vous vous apercevrez rapidement que vous n’êtes pas référencé dans Google. C’est une certification de sécurité pour votre site internet. Et on vous en met un gratuit ici !

4- La vitesse de chargement des pages 

Récemment, Google a commencé à mettre BEAUCOUP plus l’accent sur la vitesse de chargement des pages, plus encore que sur un code « propre » ou de bons serveurs. Alors vous pouvez commencer par compresser les images de chaque page, par exemple en utilisant des outils comme Recompressor, TinyPNG afin de rendre le chargement de vos pages plus rapide.

5- Bien choisir le nom de domaine de son site

D’abord, idéalement, choisissez 3-4 mots et allez à l’essentiel en supprimant les articles. Ensuite, pensez au raccourci que l’utilisateur utilisera pour faire une recherche dans Google. Par exemple si offrez des services dans le domaine du mariage et que le lien de votre site est yourstartupwebsite.com/wedding-planning-tips, pensez à des mots clefs tels que : « wedding planning tips » pour correspondre et être trouvé le plus facilement possible. Là encore, le premier mot aura plus de poids que le second, le second plus que le troisième, etc.

6- La ligne de flottaison

Google est vraiment attentif au comportement des utilisateurs sur les pages. Ces derniers « scroll » rarement, c’est juste un fait. 

Une très bonne façon de progresser dans le classement Google, est donc de placer un maximum de contenu de qualité au-dessus de la ligne de flottaison c’est-à-dire sur le morceau de la page que les utilisateurs voient à première vue, étant donné que rares sont ceux qui scroll.

Par exemple votre H1, un texte descriptif, une image, votre H2 et un bouton de ‘’call-to-action’’, tout cela au-dessus de la ligne de flottaison. Ce ne sera pas forcément très beau, mais ça marche très bien. 

Bien placé son contenu pertinent au dessus de la ligne de flottaison Tamento

Attention aux templates WordPress ! Ils sont souvent incompatibles avec le référencement SEO car il y a trop d’espacement entre les différents contenus de la page.

7- Attention au duplicate content

Veillez à ce que chaque page ait un contenu différent pour tous ces éléments : Meta Title Google, Meta Description Google, H1, H2s, contenu de la page. Et surtout, ne volez jamais le contenu d’un autre site. Google date chaque nouveau contenu qui apparaît sur le web, alors prenez garde si vous voulez être bien référencé. 

Tout contenu web en double est susceptible de subir une pénalité appelée “duplicate content”.

Les moteurs de recherche veulent diversifier autant que possible les pages web proposées dans leurs résultats de recherche. Pour ce faire, ils veillent à supprimer de leurs résultats les contenus en double.

Les moteurs de recherche considèrent comme étant du duplicate content :

– Une ou plusieurs de vos pages web sont identiques ou très proches

– Une de vos pages web est identique ou très proche d’une page d’un autre site web.

L’inconvénient du duplicate content, c’est de ne pas être du tout apprécié des moteurs. Le risque est donc d’être désindexé ou mal positionné dans les résultats des recherches. Le problème ne se pose généralement pas sur les sites multilingues.

 

Une note à propos du blogging

Aujourd’hui, les blogs sont une pratique marketing courante, mais ils restent surtout la meilleure stratégie de référencement SEO pour les startups.

En effet, presque toutes les startups ont une problématique de référencement SEO. Lorsqu’elles construisent leur site web, elles doivent d’abord se concentrer sur leur proposition de valeur, leur identité graphique et leur argumentaire de vente pour convaincre leur clientèle cible et enfin leur UX c’est-à-dire la conception de l’interface, qu’elle soit pratique et fluide et l’UI que l’interface soit esthétique.

Et la plupart du temps, ces éléments ne collent pas avec les standards d’optimisation SEO. Ou du moins, pas avec un référencement naturel dans Google digne de ce nom.

Pourquoi ? Pour ne donner qu’un exemple, une bonne pratique de référencement consiste à s’assurer que toutes vos pages sont accessibles en un minimum de clics, depuis toutes les pages de votre site. Et cela colle rarement avec une bon UI/UX. 

Néanmoins, les startups dans le domaine du e-commerce rencontrent moins de problèmes avec cette règle SEO que les autres startups car elles classent souvent leurs pages dans des catégories/sous-catégories avec des menus déroulants.

Dans ces conditions, je vous conseille de vous concentrer sur la production de contenu, intensément si possible, sur une courte période de temps.

Je dois vous avertir : les sujets des articles de blog vous sembleront vraiment ennuyeux. C’est normal ! Vous écrivez pour Google, pas vraiment pour apporter beaucoup de valeur aux utilisateurs. (Mais ne vous inquiétez pas, ils ne lisent que les titres/sous-titres & ne regardent que les images.)

Donc si vous offrez un service dans le domaine du mariage, un bon article pourrait être « Organisation de mariage : 5 choses dont vous DEVEZ vous souvenir pour le grand jour ! ». Grâce aux mots employés dans cet article, votre blog sera mieux référencé par Google.

Une des meilleures pratiques en matière de référencement d’articles de blog est d’utiliser la technique des « Tops ». Par exemple un article : « Top accessoires pour chiots : jouets, croquettes, friandises… ».

Plus qu’un titre ‘’clickbait’’, les utilisateurs cliquent souvent sur ce genre d’URL après une recherche parce qu’ils sont convaincus que quelqu’un s’étant posé les mêmes questions qu’eux, a cherché, trouvé et classé les meilleures solutions à leur problème. 

Les gens passent également plus de temps sur ce type de pages parce que l’information y est organisée et architecturée.

En ce qui concerne le rythme de rédaction, si vous créez une start-up, il y a de fortes chances que vous ayez mieux à faire que d’écrire du contenu toute la journée. Voici donc la marche à suivre :

  • Trouver une plateforme d’écrivains indépendants comme Fiverr ou UpWorkpar exemple.
  • Sélectionnez 3 à 5 rédacteurs web, et assurez-vous qu’ils sont spécialisés dans l’écriture SEO ! Attention, la rédaction d’articles de blog pour influencer est une chose différente de la rédaction d’articles de blog pour le référencement SEO.
  • Demandez-leur d’écrire le même article de blog
  • Lorsque vous recevez leurs travaux, lisez-les tous et ne publiez que le meilleur
  • Puis, continuez à travailler avec ces freelances

Sinon, j’ai créé un service qui répond parfaitement à ce besoin : www.SEOsecret.co. Des contenus optimisés Google SEO, à l’échelle et à prix abordable ! 

Note : si vous avez déjà un blog Medium, conservez-le pour écrire du contenu d’influence. Pour le contenu ciblé sur le référencement SEO, créez un blog dédié comme yourstartupwebsite.com/blog ou blog.yourstartupwebsite.com. ???

Les principes de base d’un bon référencement – Partie 1

Dans cet article, vous apprendrez pourquoi et surtout comment travailler le référencement naturel et gratuit (SEO) de votre site web. Référencement sémantique, utilisation de mots clés, structure des pages, rédaction web… D’un site à l’autre, la stratégie sera différente. Il faut prendre en compte plusieurs critères comme : le secteur d’activité ou encore vos cibles.

Les 4 composantes d’une liste de requêtes

Les requêtes sont les questions que posent les internautes aux sites de recherche comme Google (mais également d’autres sites, voir notre article sur ce sujet).
Si vous souhaitez apparaitre en bonnes positions pour vos internautes cibles, vous devez connaitre qu’elles sont leurs questions.

“ On ne peut pas donner la bonne réponse si on ne connait pas la question ”

Le référencement ne se fait pas que sur Google

La première utilisation d’internet est la recherche (information, produit ou service).
Même si Google est l’outil numéro 1 utilisé en France, les utilisateurs recherchent aussi directement sur d’autres sites : Amazon pour un produit, Airbnb ou Booking pour une location, Pages Jaunes pour un artisan, Doctolib pour un médecin, YouTube pour une vidéo, LinkedIn pour une personne, Le Bon Coin pour une annonce, etc…
Faire du référencement en 2019 ne se limite plus à Google.
En fonction de votre offre, vous devez optimiser vos positions sur les sites de recherche utilisés par vos internautes cibles.

Google Actualités : Les critères de référencement Google News en 2018

Google Actualités est un service d’actualité en ligne. Il s’adresse aux personnes souhaitant rester informé de l’actualité en continu. Pour avoir une chance d’être référencé sur ce service, voici une liste des sources ou site éligibles :  

  • Communiqué de presse
  • Contenu d’opinion
  • Blog
  • Satire

Avoir un article de blog publié sur Google Actualités est un levier d’acquisition de trafic très puissant qui peut être bénéfique à tout votre site web. Voyons comment maximiser vos chances pour atteindre le graal en apparaissant dans le fil d’actualité de Google.

Qu’est-ce que Google Actualités ?

Aussi appelé Google News, Google Actualités est un service en ligne gratuit proposé par Google. Comme son nom l’indique, il rassemble dans un film toutes les actualités et les classe par thématiques. Les robots de Google indexent les nouveaux articles dans la base de données du moteur de recherche. Ensuite, il les sélectionne, à l’aide son algorithme, pour afficher les plus pertinents pour vous transmettre les dernières actualités.

 

Comment fonctionne Google Actualités ?

Ce service vous permet de bénéficier d’un fil d’actualité récent et actualisé par Google toutes les 48 ou 72h. Grâce à ce service, Google vous apporte de l’information fraîche issue de diverses  sources sur des sujets variés jugés pertinentes par les Googlebots. Ces robots index les sources éligibles dans sa base de données puis classe les sources selon :

  • La date de création
  • La notoriété du site qui écrit l’article
  • La pertinence de la réponse apportée à l’internaute

Comment apparaître sur Google News ?

Vous souhaitez voir les articles de votre site apparaître sur le fil d’actualité de Google News ? Voici ce qui est important à savoir pour qu’un article de votre site puisse être publié dans Google Actualité et ainsi accroître considérablement votre trafic.

Pour bénéficier de cette visibilité supplémentaire, Google met en place une procédure aux codes inamovibles qu’il va vous falloir respecter pour avoir une chance d’apparaître sur ce fil d’actualité tant convoité.

Étape 1 : Proposer votre candidature à Google News par un formulaire

Vous pouvez soumettre vous site à Google via le lien suivant : Formulaire Google News.

En cas de refus, vous recevrez un mail et vous pourrez réitérer votre demande 60 jours après, tout en corrigeant les points bloquants précisés par Google lors de son refus.

Pour que votre site soit éligible, voici les critères à prendre en compte :

  • Votre contenu doit être uniquement dédié à l’actualité et au format HTML seulement.
  • Le site sur lequel l’article est publié doit contenir une partie sur l’actualité.
  • L’article doit être de qualité et authentique (toute technique de tromperie des moteurs de recherche est sanctionnée). Son contenu doit être unique et original. Votre site doit être sécurisé et être conforme au protocole HTTPS.
  • Il est recommandé de publier fréquemment des contenus de qualité sur l’actualité pour être pertinent aux yeux de Google.
  • Pour être admis à la soumission, votre site doit avoir un sitemap adapté pour Google Actualités. La sitemap représente l’ensemble de vos pages sous forme de cartographie.
  • Votre contenu doit être aéré, agréable à la lecture et irréprochable au niveau de l’orthographe et de la grammaire.
  • Google impose certaines contraintes sur les URLs. Celles-ci doivent être claires et compréhensibles par l’internaute. Chaque article doit détenir sa propre URL.
  • Le titre H1 doit correspondre à 100 % à la balise Title.
  • Le format AMP (Accelerated Mobile Pages) est fortement privilégié sur Mobile. Ce terme désigne des pages web au chargement quasi instantané sur mobile. Avoir le label AMP est donc conseillé pour apparaître sur mobile.

Si votre contenu est éligible, il sera présent dans l’index de Google Actualités et pourra être sélectionné et associé à une thématique précise. Un contenu éligible respecte l’ensemble des critères énoncés précédent. Nous allons voir par la suite que les contenus présents dans l’index de Google sont classés par son algorithme.

Voici les erreurs à ne pas commettre sur vos pages pour préserver les chances de votre contenu d’être diffusé sur Google News :

  • Les pages répertoriant plusieurs actualités sont sanctionnés par les crawler de Google Actualités. Pour Google, une page doit correspondre à une idée, donc une seule actualité doit représenter une page.
  • Chaque sous-domaine doit être suggéré un à un au formulaire Google actualité.
  • Vos pages doivent contenir une seule et même langue. Si votre site est multilingue, vous devez insérer une balise hreflang dans la search console de Google pour éviter toutes sanctions.
  • Les pages comprenant des images non optimisées nuisent à votre référencement sur Google Actualités. Vos images doivent être optimisées aux formats GIF ou JPEG avec les attributs height, width et alt renseignées. Le format PNG ne permet pas d’avoir une vignette illustrant votre article.
  • Un faible balisage (H2, H3) de vos pages nuit aussi à votre indexation.

Si votre site respecte l’ensemble des règles citées précédemment, les robots d’indexations de Google vont indexer votre site dans la base de données de Google Actualités.  Cela ne veut dire qu’il peut potentiellement être diffusé.

Étape 2 : La classification des articles présents dans l’index de Google

Une nouvelle fois, Google doit faire le tri parmi de nombreux articles traitant d’une même thématique. Voici quatre critères principaux qui influent sur la classification de vos sources :  

  • Le niveau de pertinence de l’actualité.
  • La notoriété de la source. Plus votre site est populaire et plus vous aurez de chances de remonter sur une actualité tendance.
  • Le taux de réactivité à l’actualité suivant l’heure et date de mise en ligne de votre news.
  • La comparaison du flux d’information selon les différents articles du même sujet.

D’autres critères sont aussi à prendre en compte afin de mettre toutes les chances de votre côté pour la diffusion de votre source :

  • Indiquez la rubrique de votre article pour permettre au Googlebot de le classer selon une thématique précise.
  • Google privilégie les sites d’actualités qui mettent en avant leur rédacteur. Cela permet à ses robots de vérifier les activités du rédacteur et  l’ensemble de son travail. Si votre site ne met pas en avant ses rédacteurs, nous vous conseillons de créer une biographie de ces derniers avec leur réseaux sociaux.
  • Plus votre contenu à un CTR (taux de clic) et un taux de partage sur les réseaux sociaux élevés, et plus les Googlebots accorderont de l’importance à votre site web.
  • La balise méta keyword a son importance pour Google Actualités. Cela lui permet de mieux comprendre votre sujet.

« Il est important de savoir que la densité de votre contenu ne fait pas le positionnement de votre l’article. »

Google actualité est un média présentent de nombreuses règles strictes à respecter. En cas de sélection par l’algorithme Google News, votre article pourra accroître son trafic jusqu’à 30 %. Vous pouvez, à l’aide d’un bon maillage, faire remonter certaines de vos URLs, ce qui est profitable à votre site. Avec un taux de search de 51 % sur mobile et la constante augmentation des visites depuis ce device, Google cherche toujours à satisfaire pleinement l’utilisateur.

Vous souhaitez parfaire votre écriture et vous adapter aux règles du web et de sa charte éditoriale ? Nos experts mettent à votre disposition leurs compétences et astuces pour vous aider à construire une stratégie de contenu adéquate.

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