Bientôt juin 2021, pensez à transformer votre DIF en CPF !
Si vous étiez déjà en activité avant le 31 décembre 2014, vous disposez peut-être encore de droits DIF reportables sur votre compte personnel formation. Mais attention, il ne vous reste que jusqu’au 30 juin 2021 pour effectuer cette opération.
Le DIF ou Droit Individuel à la Formation correspond au dispositif de formation professionnelle en vigueur jusqu’au 31/12/2014 pour les salariés du secteur privé, et jusqu’au 31/12/2016 pour les agents du secteur public avant son remplacement par le CPF.
Quelles différences ?
Le droit individuel de formation (DIF) était un droit attaché au contrat de travail. Seules les personnes sous contrat de travail pouvaient en bénéficier. La portabilité du DIF était possible en cas de démission mais n’était pas toujours possible pour les cas de licenciements.Il était crédité de 120 heures maximum, à raison de 20h par an.
Le compte personnel de formation (CPF) est un droit attaché uniquement au salarié. Ce compte va le suivre tout au long de sa vie professionnelle. Depuis ses 16 ans, jusqu’à sa retraite. Contrairement au DIF, la portabilité du CPF est intégrale. Toutes les heures inscrites au compte restent acquises en cas de changement de situation professionnelle, démission ou licenciement.
L’autre différence est que ce ne sont plus des heures qui sont crédités mais des euros, à hauteur de 500 euros par an, 5000€ maximum sur 10 ans.
Cette conversion peut représenter un budget non négligeable, les heures du DIF étant converties selon un taux de 15€/heure.Par exemple, un compte DIF à 120h; permettra de récupérer 1800€.
Comment transformer votre DIF en CPF ?
Normalement, les heures DIF renseignées sont converties automatiquement en euros. A compter du 1er juillet, ces heures seront automatiquement intégrées à votre compte CPF.
Certains cas peuvent poser problème à la conversion automatique :
– Si vous avez eu plusieurs employeurs entre le 1er janvier 2009 et le 31 décembre 2014 : Seule l’attestation fournie par votre dernier employeur en date est valable.
– Si vous travailliez simultanément pour plusieurs employeurs au 31 décembre 2014 : Additionnez les heures indiquées sur les attestations de chacun de vos employeurs. Nous vous conseillons de numériser toutes les attestations afin de les regrouper en un seul document.
– Si vous souhaitez déclarer plus de 120 heures : Vous pouvez contacter moncompteformation.gouv.fr grâce au formulaire de contact, en sélectionnant le motif « saisie de mes heures DIF ». Puis, indiquez dans le message le nombre d’heures à prendre en compte.
Vous êtes un particulier et vous souhaitez effectuer une reconversion professionnelle ou améliorer vos compétences en web marketing ? Vous pouvez suivre l’une de nos trois formations, éligible CPF.
Community manager : https://formations.tamento.com/formation-community-manager-cpf
Vous êtes un dirigeant d’entreprise et vous souhaitez améliorer les compétences de vos salariés ? N’hésitez pas à nous contacter, c’est avec plaisir que nous répondrons à vos questions.
Dernier article de notre série consacrée à la Stratégie Marketing Digital en partenariat avec La Fabrique à Clients !
Dans les derniers articles de la série, nous nous sommes inspirés de la méthode décrite dans le livre de Marketing Digital “Tout le monde peut Fabriquer ses Clients” :
Partie 2 : la Target MAP pour entrer dans la tête de votre prospect idéal
Partie 3 : l’Offer MAP pour affûter les arguments de votre offre et la rendre irrésistible
Dans cette 4ème partie, nous allons voir comment Safety Soft s’appuie sur les connaissances de son prospect et de son offre pour penser une stratégie Marketing digital logique et efficace.
Les plans d’une Fabrique à Clients
Vous avez compris que le rôle de votre dispositif est de faire le lien entre votre prospect (et sa Target Map) et votre offre (et son Offer Map). Ce lien est fait aux niveaux des 4 phases du parcours client (et de son dispositif).
La logique de La Fabrique à Clients tient dans l’assemblage graphique de ces trois modèles comme proposé dans le visuel suivant.
Vous comprenez maintenant que tout se tient et que l’ensemble des concepts que nous avons vus ont une place dans la vue globale de votre stratégie.
Le livre utilise d’ailleurs beaucoup ces visuels dans le dernier chapitre consacré à 4 exemples de Fabriques à Clients.
Le dispositif Marketing Digital de SafetySoft
En phase de Curiosité, l’idée est de lui donner un aperçu de ce qui est faisable en matière de communication et de qualité des indicateurs. L’objectif est d’éveiller sa curiosité et de le projeter dans les bénéfices à utiliser ce genre de supports.
On proposera donc une série d’indicateurs sous la forme d’une infographie interactive (qui pourra être réalisée par exemple avec infogr.am), dont le titre pourra être « Prévention des risques : les 5 KPI que votre direction attendra tous les mois ».
L’entonnoir d’activation sera proposé à l’ensemble des visiteurs ayant laissé leur adresse mail pour accéder à l’infographie. Il suivra l’envoi de cette dernière. Dans l’infographie, on expliquera que tous ces indicateurs font partie d’une version du Document Unique édité par un outil moderne.
L’objectif de l’entonnoir sera de faire la promotion d’un webinaire autour duquel on fera le lien entre chaque bénéfice attendu et la fonctionnalité correspondante de l’application.
On choisit donc l’entonnoir de type webinaire, qu’on fabriquera autour des contributions vidéo des consultants les plus à l’aise dans l’exercice.
La phase d’Intérêt sera balisée par un webinaire dont le thème sera « Comment éditer un document unique performant en 2020 ? » Les webinaires seront planifiés à la fréquence d’un par semaine et joués par l’application WebinarJam, qui gère l’ensemble du processus de manière simple et efficace.
Pour entrer progressivement dans la pratique du webinaire, l’équipe Safety Soft décide d’enregistrer les premiers webinaires (pour pouvoir se tromper, se reprendre et corriger au montage) et de faire les suivants en live afin d’avoir un contact direct avec les participants.
De la même manière, les premiers Lives seront réalisés avec des moyens très sobres (webcam, éclairage minimal, micro-casque d’ordinateur …). On décidera d’investir dans un dispositif plus sophistiqué dans un deuxième temps.
A l’issue du webinaire, l’entonnoir de conversion proposera une période d’essai et surtout un accompagnement dans la prise en main de l’outil. Il s’agit à la fois de convaincre le prospect que la solution leur convient, mais surtout de ne pas le laisser se perdre dans les fonctionnalités.
On parle bien d’une période d’essai et pas d’une démonstration : l’application qui sera utilisée est une instance entière qui pourra être conservée si Amine achète une licence.
Pendant cette période, on choisit une séquence de type onboarding conduite par un consultant qui sera chargé de faire en sorte que le prospect vive une expérience enthousiasmante et surtout qu’il commence à se sentir comme chez lui. De cette manière, l’offre qui lui sera faite en fin de période d’essai ne proposera pas d’avancer, mais d’éviter de reculer.
En phase de Décision, lorsqu’Amine cherchera à lever les blocages, il aura en charge de monter un dossier et de convaincre les trois décideurs (son responsable hiérarchique, l’IT et les Achats). Pour l’aider à lever ces blocages, on fera parvenir tous les éléments dont il aura besoin pour communiquer en interne sur son projet :
–Des argumentaires adaptés à chaque décideur
–Des modèles types de dossier et de courrier de motivation
–Un executive summary
–L’ensemble des documents produits avec ses données pendant la période d’essai
–…
Pour envoyer de beaux documents, personnalisés, et surtout suivre leur utilisation, on pourra employer un outil comme betterproposal.io ou pandadoc.com.
Si ce n’est pas encore le cas, c’est le moment d’insister pour qu’Amine s’abonne à la newsletter. Cela permettra de lever les inquiétudes liées à l’adhérence avec la réglementation.
Pour aider Amine à passer à l’action, l’entonnoir de vente ici sera entièrement piloté par un commercial, qui prendra contact avec Amine pour l’accompagner dans son action de « vente » de son projet en interne. Celui-ci reprendra les documents de proposition standards envoyés précédemment pour les adapter précisément au contexte et, opportunément, y ajouter des produits d’upsell. Il proposera également de prendre contact directement avec les interlocuteurs d’Amine.
A ce moment, c’est le commercial qui pourra, selon son appréciation de la situation et de l’opportunité, prolonger la période d’essai.
La base de la dynamique de contenu sera construite autour d’un blog dédié à la prévention des risques animé par les consultants. Chaque article fera l’objet d’une promotion sur LinkedIn dans un premier temps, même si on étudiera l’opportunité d’investir du temps sur d’autres réseaux dans un deuxième temps.
Sur le blog, Amine trouvera des informations froides (de nature à ne pas changer, comme des textes de loi, un annuaire …) et des informations chaudes (astuces, actualités …).
La newsletter proposera à chaque abonné de recevoir tous les mois une synthèse de ce qui aura été publié sur le blog durant les dernières semaines.
Les campagnes d’acquisition
Les campagnes de Display s’appuieront sur la dynamique de contenu. Elles auront deux objectifs :
Faire la promotion des articles du blog, dans lesquels on aura inséré une bannière de promotion pour l’appât de la phase de Curiosité (l’infographie interactive)
Faire la promotion de l’appât de la phase de Curiosité auprès de l’audience identifiée dans la dynamique de contenu
Toujours sur le réseau LinkedIn, on mènera des campagnes d’Outreach (prise de contact direct) auprès d’une cible correspondant au profil d’Amine. L’objectif sera d’attirer la curiosité des destinataires sur l’appât avec une accroche de type « Comment communiquez-vous avec votre Direction ? »
Pour prendre contact directement, on utilisera au choix deux méthodes automatisées :
–Un automate de prise de contact de type we-connect.io qui visitera et prendra contact automatiquement avec les cibles
–Un automate de type Phantom Buster, qui vous permettra d’extraire les adresses mail des contacts LinkedIn que vous souhaitez interpeller afin de les contacter par mail dans un outil de type Lemlist.
Si vous souhaitez creuser un peu le sujet de l’Outreach et la puissance des mécaniques d’automatisation dans ce domaine, venez en parler dans la communauté ! (Voir la dernière page de ce livre)
Vous êtes prêts à penser votre Stratégie Digitale 🙂
Voici donc la fin de cette série consacrée à la méthode de la Fabrique à Clients pour penser une stratégie digitale.
Dans le deuxième nous avons pris en main l’outil Target MAP pour comprendre comment entrer dans la tête d’un prospect.
Aujourd’hui, nous allons voir de quelle manière travailler les arguments de votre offre pour la rendre irrésistible aux yeux du prospect.
OFFER MAP : MODÉLISEZ VOTRE OFFRE
Pour bien présenter votre offre à votre prospect, il vous faut la connaître dans toutes ses composantes et surtout savoir utiliser ses atouts au bon moment. C’est donc le moment de savoir cartographier les caractéristiques de votre offre pour pouvoir ensuite les confronter aux attentes de votre prospect à chaque étape.
Le modèle Offer Map est le corollaire du modèle Target Map : il vous permet d’affuter vos arguments dans chaque phase successive du parcours clients et d’apporter le bon message au bon moment à la bonne personne.
L’offre concernée est l’abonnement à une application SaaS de gestion de la prévention des risques
Safety Soft web est une solution modulaire d’outils de gestion des risques professionnels construite sur un socle de base auquel le client peut ajouter les modules fonctionnels dont il a besoin. Ce socle de base apporte les fonctions indispensables pour cartographier les risques et éditer le Document Unique, un livrable imposé par les instances de réglementation officielles.
La solution promet d’accompagner les professionnels dans toutes les composantes de leur activité de gestion des risques.
Un marché qui reste à équiper : innovation de marché
Les professionnels de la prévention des risques travaillent encore beaucoup avec des outils non adaptés. Ils utilisent majoritairement les suites bureautiques standards et développent leurs propres bases de données de type Excel ou Access.
Les prospects intègrent les contraintes de leurs obligations réglementaires et la nécessité de s’organiser seuls comme un aspect inhérent à leur fonction.
Offre récurrente : la solution est proposée par abonnement annuel.
Processus de décision structuré.
Pour engager sa société, le préventeur aura besoin de respecter un processus de décision engageant sa hiérarchie, le département achats et l’équipe informatique. La difficulté principale de la prise de décision vient du nombre des interlocuteurs et de la disparité de leurs intérêts.
En phase de Curiosité, la solution promet à ses utilisateurs qu’ils pourront mieux communiquer avec leurs interlocuteurs et mieux suivre les évolutions des réglementations.
En phase d’Intérêt, les savoir-faire différenciateurs de la solution sont sa richesse fonctionnelle, son moteur de conception de rapports et ses nombreux KPIs
En phase de Décision, les éléments qui pourront lever les blocages des prospects sont les dispositifs d’accompagnement des utilisateurs (consultants, support en ligne, onboarding…), les arguments pour les décideurs achats et les décideurs IT.
En phase d’Action, pour compléter l’expérience client, l’offre propose 3 types de produits complémentaires :
L’ensemble des modules fonctionnels
Des prestations de conseil et d’assistance à la mise en place
Si vous avez suivi les 3 premiers articles, vous avez compris le parcours client proposé par Safety Soft, comment la société a décrit son prospect cible (Amine), comment elle a affûté ses arguments.
Il ne reste plus maintenant qu’à choisir les leviers d’actions sur lesquels agir pour mettre en musique le parcours d’Amine.
Dans le premier article de la série, nous avons vu le résultat et suivi le parcours de leur prospect avec sa Target Story. Aujourd’hui, nous allons voir de quelle manière décrire le prospect pour lui confectionner un parcours très adapté.
Découverte du contexte
Accompagner les préventeurs
Dans le marché très particulier de la prévention des risques professionnels, les acteurs sont coincés entre deux pressions :
L’évolution inarrêtable de la réglementation qui impose toujours plus de figures imposées et de risques juridiques aux entreprises.
Le besoin de maintenir une pression constante sur les employés pour éviter le plus grand risque : la faute d’inattention causée par le relâchement.
Pour le préventeur, en charge de la prévention des risques dans son entreprise, il est capital de pouvoir communiquer et produire des rapports pour maintenir un lien avec :
les employés : il doit maintenir un canal de communication toujours ouvert pour récolter, capitaliser et diffuser les meilleures pratiques
sa Direction : il doit pouvoir calculer des indicateurs et présenter des rapports efficaces régulièrement
les instances officielles : il doit respecter les formats de communication et produire les documents nécessaires au respect des règles, comme le document unique.
Depuis 2005, SafetySoft développe une gamme de logiciels dédiée aux préventeurs et accompagne les évolutions de la réglementation.
L’équipe SafetySoft devient leader de son marché
Pour financer sa croissance, les dirigeants de Safety Soft ont travaillé sur une levée de fonds. De nouveaux actionnaires sont entrés au capital et apportent des fonds qui vont permettre de lancer un plan de transformation construit sur deux axes :
Développer la version web et mobile de l’application
Construire une mécanique de développement commercial
Les objectifs de SafetySoft
La Fabrique à Clients de SafetySoft aura pour objectif de cibler une population de préventeurs travaillant pour de grandes entreprises. Elle mettra en musique des ressources marketing, conseil et vente.
SafetySoft est une société de consultants. Leurs compétences sont surtout métier et personne n’est véritablement dédié à la prospection. Leur Fabrique à Clients devra automatiser l’essentiel et s’appuyer sur les compétences des consultants pour accompagner les prospects. Le seul commercial de l’entreprise devra entrer en piste en toute fin d’entonnoir pour conclure la vente. Il n’aura pas de temps à consacrer aux prospects avant la phase d’Action.
Qui est Amine : le prospect idéal de Safety Soft
Le profil d’Amine
Amine est préventeur dans une société industrielle de la région Auvergne Rhône Alpes. Lors du workshop de définition du persona, on a beaucoup hésité à prendre en compte les critères de profil personnel. En regardant le profil type des clients actuels, on distingue mal pourquoi les différences de comportement ou d’adhérence avec l’offre seraient basées sur la situation familiale, la localisation… Il est toutefois décidé d’observer si l’âge du prospect (et donc son rapport aux outils digitaux) influence la performance du dispositif.
Le profil professionnel d’Amine est en revanche absolument déterminant : Amine occupe une fonction de préventeur, de responsable sécurité ou de responsable qualité. On listera d’ailleurs l’ensemble des libellés qui peuvent être choisis pour nommer sa fonction. Dans l’absolu, Amine est le futur utilisateur de la solution.
Pour répondre aux objectifs qualitatifs de l’entreprise, notre cible devra travailler pour une entreprise d’au moins 300 employés dans des contextes potentiellement porteurs de danger (industrie, BTP, logistique …).
Les drivers
Comme tous les préventeurs, Amine est dirigé par deux impératifs :
–La sécurité physique et psychique des employés, qui risquent très gros si un accident arrive
–La sécurité juridique des dirigeants de l’entreprise, qui risquent très gros si un accident arrive dans un contexte mal encadré.
La contrainte de son métier est la lourdeur administrative des figures imposées par la règlementation et les procédures qu’il porte. Cette lourdeur rend son travail assez peu valorisant auprès de ses interlocuteurs. Il a d’ailleurs du mal à les fédérer autour des grands enjeux.
Le processus de décision
Comme pour toute entreprise de taille importante, le processus de décision dans lequel Amine devra entrer est complexe et fait intervenir plusieurs codécideurs :
Sa hiérarchie, qui gère un budget et surtout s’assure de la performance des processus métiers.
L’équipe IT (informatique) qui portera la politique de sécurité des données et s’assurera que le nouvel outil d’Amine s’intégrera bien dans le Système d’Information de l’entreprise.
Le service Achats qui cherchera à mesurer la pertinence économique du choix et s’assurera que le processus d’achat est mené dans des conditions justes et inattaquables.
En phase de Curiosité, on cherchera à attirer l’attention d’Amine sur ses deux insatisfactions principales :
●La difficulté à communiquer et à mobiliser autour des enjeux de sécurité
●La complexité et l’évolution constante de la réglementation
En phase d’Intérêt, Amine s’attachera en priorité aux critères suivants :
●La qualité des rapports et des outils de communication proposés par l’outil
●Est-ce que je serai en ligne avec les attentes de la réglementation ?
En phase d’Action, une fois le choix validé, Amine aura besoin d’être accompagné :
●Dans sa propre utilisation
●Dans la migration des données existantes
●Dans la formation des autres utilisateurs
Le modèle Target MAP
L’exercice du Target Persona et de sa version améliorée Target Map, qu’on traduirait par « personnage cible » ou plutôt « portrait-robot de la cible », permet de travailler en équipe sur la compréhension de son client type.
Vous devez vous appuyer sur votre Target Map pour toutes vos prises de décision et toutes vos initiatives !
Incarnez votre persona dans un objet que vous installerez à la table de réunion parmi vous : un ballon avec un visage, une peluche, un personnage Lego, un poisson rouge… Votre persona doit être avec vous !
Désignez une personne (qui peut changer d’une réunion à l’autre ou pas), qui sera le porte-parole de votre persona et faites-la intervenir en lui donnant la parole régulièrement !
Rendre l’offre irrésistible
Maintenant que vous connaissez le profil de votre prospect, vous devez comprendre comment affûter les arguments de votre offre pour la rendre lisible et surtout qu’elle entre en résonance avec les attentes de votre marché.
Dans les prochains articles nous verrons ces 2 sujets :
Comment rendre votre offre irrésistible
Quels choix de dispositif pour développer Safety soft
Chaque marketeur rêve de devenir un jour celui qui proposera LA campagne de marketing digital qui propulsera les ventes.
Pour y arriver il vous faudra immanquablement une méthode et des outils adaptable à chacune de vos offres… C’est justement la promesse de “Tout le Monde peut Fabriquer ses Clients”, le livre de Marketing Digital paru très récemment.
Le livre propose un ensemble d’outils très simples, à utiliser les uns à la suite des autres, pour construire ce que Christophe Menani appelle une “Fabrique à Clients”.
L’auteur accompagne les Entreprises de toutes tailles dans leur stratégie de croissance avec le Digital depuis plus de 20 ans et a fait la synthèse de toutes ses expériences pour proposer un guide pratique et implacable pour tous ceux qui pensent leur croissance avec les outils du web.
Le livre se conclut par 4 exemples réels de stratégies et surtout la manière avec laquelle elles sont construites : voici l’exemple de la société Safety Soft et de la construction de sa Fabrique à Clients.
Outil numéro 1 : La Target story
Imaginez que vous avez pensé la meilleure stratégie possible. Vient le moment de la présenter à vos collègues… Voici comment Christophe Menani présente cette étape :
Lorsque j’étais enfant, ma maman fabriquait nos vêtements. Elle allait acheter du tissu et revenait avec un rouleau en me disant : « Regarde, ça fera une belle chemise ! ». Devant mon regard perdu, elle me montrait le patron (le plan) et me disait : « Tu vois, ce morceau va là, celui-là va en dessous… ».
Malgré toute ma bonne volonté, je n’ai jamais réussi à voir une chemise dans un bout de tissu posé sur un bout de papier.
Même si vous êtes parfaitement satisfait de votre plan, il y a fort à parier que vous devinerez mon regard d’enfant perdu dans les yeux de vos interlocuteurs lorsque vous allez chercher à les embarquer dans votre projet ; ils n’auront simplement pas la capacité de lire un plan !
Selon votre contexte, vous aurez besoin d’embarquer vos collègues, votre direction, vos partenaires, vos fournisseurs… Ou même vos investisseurs, qui voudront comprendre comment vous allez utiliser leurs fonds ! J’ai d’ailleurs souvent utilisé l’outil de la Target Story dans le cadre de levées de fond, auprès d’investisseurs qui ont besoin de toucher du doigt et de comprendre, sans aller dans le détail.
L’idée de la Target Story est de raconter l’expérience d’achat dans votre dispositif, ses interactions et sa progression, vues par les yeux de votre prospect, dans un format journal de bord.
Je pense que vous comprendrez parfaitement le concept en suivant la progression d’Amine dans son parcours client. Voici son histoire.
Safety Soft et le parcours B2B d’Amine
Safety Soft est l’heureux éditeur d’une solution web de gestion des risques professionnels leader de son marché et déployée dans toute la francophonie auprès d’une cible d’entreprises de toutes tailles.
Ses interlocuteurs sont les préventeurs, les responsables de la prévention des risques professionnels.
Je m’appelle Amine et je suis préventeur pour une petite industrie de la région Lyonnaise. J’aime mon métier et je sais que mon action contribue à rendre la vie professionnelle de mes collègues plus sûre. Je sais aussi que s’il y a un accident, mon patron peut avoir des ennuis lourds et qu’il compte sur moi pour le protéger.
Malgré ça, c’est parfois compliqué d’intéresser mes collègues et ma Direction à ce que je fais. Je sais que la prévention des risques est l’affaire de tous, mais le formalisme et toutes les règles que je dois respecter rendent les choses souvent peu compréhensibles.
On définit ici le profil d’Amine, ses informations de démographie et son insatisfaction.
Le mois dernier, j’ai vu passer sur mon mur Facebook une petite vidéo qui explique en 20 secondes le principe de la pénibilité au travail… ça faisait des mois que ma Direction me demandait de lui expliquer et que je ne trouvais pas les mots !
J’ai pris cette vidéo et je l’ai diffusée, ça m’a permis d’entamer la discussion avec mon Directeur sur le sujet !
La vidéo est utilisée comme accroche pour attirer l’attention et éveiller la Curiosité.
J’ai vu que la vidéo avait été faite par les gens de Safety Soft, j’ai regardé leur page et j’ai vu qu’ils publiaient régulièrement ce genre d’astuces.
Ces gens ont l’air de bien connaître mon métier et m’apportent quelque chose dont j’avais vraiment besoin ! Ce sont visiblement des préventeurs comme moi qui se sont développés une appli de gestion des risques. En tous cas, leurs vidéos m’aident pas mal alors je me suis abonné à leur page FB. J’ai vu aussi qu’ils avaient une newsletter qui fait un point régulier sur les évolutions des règles alors je me suis abonné.
Certaines des astuces qu’ils donnent sont très puissantes ! Ce sont des indicateurs vraiment utiles, mais il faut un logiciel pour ça et moi je n’ai que mon Excel. Je pense que je ne pourrai pas le faire, mais c’est vraiment intéressant.
Dans cette période, Amine est curieux et Safety Soft entretient une relation avec des contenus qui permettent
1.De satisfaire sa curiosité
2.De créer l’envie d’aller plus loin
La newsletter ici est l’appât.
En ce moment Safety Soft propose un webinaire qui explique comment ils produisent ces fameux indicateurs. Apparemment ils font témoigner des préventeurs comme moi, dans d’autres sociétés, qui partagent leurs indicateurs et qui expliquent comment ils font. Si eux ils y arrivent, je pourrais aussi !
Ça fait plusieurs fois que je vois passer cette info et le webinaire est dans quelques jours. Il faut que je m’inscrive, je ne veux pas rater l’opportunité !
Le webinaire est demain et je l’avais oublié ! Heureusement, l’organisateur m’a envoyé un message pour me le rappeler !
Je viens de suivre ce webinaire ! Je me suis vraiment reconnu dans ce qu’ils disaient et j’ai appris des choses utiles !
Je me rends compte que je dois m’intéresser sérieusement à ce logiciel, sans quoi je vais avoir du mal à progresser.
Le webinaire est utilisé ici pour faire avancer Amine dans son parcours.
Il y entre par curiosité, il en sortira avec l’envie de s’y intéresser.
A la fin du webinaire, ils préconisent d’essayer Safety Soft pendant quelques semaines pour comprendre comment je pourrais en tirer profit. Ils ont dit que si j’avais une question d’utilisation, je pourrais les contacter et ils m’accompagneront.
J’ai laissé passer un peu de temps depuis le webinaire, je manque de temps en ce moment, je prendrai un compte de test quand je pourrai. Depuis, ils m’envoient régulièrement des mails pour que je ne les oublie pas !
Ce matin la personne qui animait le webinaire m’a envoyé un mail qui montre comment on imprime un D.U. C’est vraiment étonnant, ça a l’air super rapide. Il y avait un gros bouton dans le mail pour aller vers la page de login, je ne pouvais pas le rater, alors j’ai pris un compte de test sur Safety Soft !
L’interface est jolie et je retrouve bien ce dont j’ai besoin. En plus, lorsque je me suis connecté j’ai été guidé par des flèches qui apparaissent sur l’écran. J’ai pu créer les sites et remplir quelques lignes du DU. Ensuite j’ai imprimé un DU ! Ça se fait en quelques secondes, c’est vraiment pratique.
J’ai un peu cherché la fonction qui permet de mettre à jour un plan d’action. Comme ils l’avaient promis, il y a un système de chat dans l’interface et j’ai pu poser une question. C’est un certain François qui m’a répondu super vite !
Dans cette phase, Amine va prendre plus de temps pour creuser le sujet et s’intéresser à l’offre.
Un commercial de Safety Soft m’a appelé ce matin ; je lui ai dit que j’étais en train de tester et que je ne savais pas encore quoi lui dire, mais il m’a rassuré et m’a proposé de m’envoyer des documents qui me permettraient d’aller voir mon patron. Il m’a envoyé une proposition bien faite avec tous les détails des budgets et des engagements et il m’a dit que lorsque ce serait le moment, il serait là pour parler à mon boss et voir ces détails avec lui… Ça me va bien !
Ici le commercial est chargé de faire progresser Amine dans son parcours.
On a eu un coup de bourre à l’usine et j’ai perdu le fil de mon expérimentation avec Safety Soft. Ça fait deux semaines que je ne me suis plus connecté et j’avoue que je ne sais plus trop où j’en étais. Heureusement, ce matin j’ai reçu un mail de François. Ils ont dû voir que je ne me connectais plus…
Il m’avait déjà aidé dans l’appli, et là il me demande si j’ai besoin d’aide et il m’invite à un tour guidé pour m’aider à prendre en main Safety Soft. Du coup, je me suis reconnecté et j’ai retrouvé mes dossiers là où je les avais laissés. François est toujours là dans le coin droit de mon écran et je vais prendre un peu de temps pour faire le tour.
Je viens de passer une heure avec une personne de chez Safety Soft qui m’a guidé dans le logiciel. Ce n’était pas le fameux François, mais il m’a bien tout montré 😉 C’est vraiment une bonne solution et je vais en faire la demande.
Sur la base de l’appréciation du commercial, on considère ici qu’Amine a progressé dans son parcours et qu’il est passé d’une phase d’Intérêt à une phase de prise de décision.
Dans cette phase, Amine accepte de passer un long moment en tête à tête avec quelqu’un.
Le commercial m’a proposé d’appeler directement mon boss pour aller plus loin. Je lui avais déjà transmis l’offre, je vais les laisser se débrouiller pour la prise de commande.
On considère ici qu’Amine a pris sa décision et qu’il faut l’aider à passer à l’action.
Voyez comme le parcours, bien que long, est fluide et logique. Nous avons fait progresser Amine en adressant une insatisfaction qu’il ne pensait pas possible de corriger.
Remarquez dans ce parcours les éléments qui seront les bases du modèle que nous allons détailler ci-après et qui vous permettront de concevoir des parcours adaptés à votre contexte.
Remarque 1 : dans ce parcours, le rôle d’Amine s’arrête ici. Il est passé par trois phases : Curiosité, Intérêt et Décision. La phase d’Action est confiée à son Directeur. Amine n’est pas décideur et son rôle de prescripteur revient à transmettre le dossier dans de bonnes conditions. Le parcours est un succès et atteint son objectif.
Remarque 2 : pour faire avancer Amine d’une phase à l’autre, on fait appel à des accélérateurs sous forme adaptée (display FB, webinaire, appel commercial, démo guidée …)
Remarque 3 : les différents éléments de communication, de rappel, de contrôle… sont déclenchés de manière automatique pour faire vivre à Amine une expérience personnalisée et sans couture. Seules les conversations avec le commercial et la démonstration guidée ont nécessité une intervention humaine.
Vous verrez qu’en vous essayant à l’exercice de la rédaction des Target Stories, vous trouverez instinctivement des opportunités de fluidifier le parcours et d’enrichir l’expérience client. Vous verrez également que c’est à ce moment-là que vous saurez fédérer autour de vous des partenaires qui vous regardaient travailler de loin jusque-là !
Comment la stratégie Marketing Digital de Safety Soft a-t-elle été pensée ?
Vous voulez comprendre par quelles étapes la société est passée pour penser sa stratégie et faire des choix qui rendent son parcours client fluide ?
Le prochain article sur le sujet vous montrera en détails :
Comment étudier le profil du prospect en allant un peu plus loin que le target personna,
Comment choisir la stratégie d’acquisition
Comment penser les entonnoirs
Vous pourrez également télécharger les modèles de conception de la Fabrique à Clients :
À la suite du contexte sanitaire critique que l’on traverse depuis le début de l’année 2020, l’Etat avait mis en place un plan de relance économique massif.
En effet, un budget de 15,3 milliards d’euros a été consacré à l’emploi et aux compétences, divisé en deux grosses enveloppes : le plan jeunes (6,7 milliards d’euros) et l’activité partielle de longue durée (6,6 milliards d’euros). Dans ce plan, l’aide exceptionnelle du FNE (fond national pour l’emploi) a permis d’accompagner les entreprises en activité partielle de son champ pour la formation de leurs salariés.
Ce dispositif a été imaginé par les acteurs de la métallurgie, qui avaient suggéré sa création au gouvernement et qui était valide jusqu’au 30 octobre inclus.
Cependant, à la suite des récents évènements qui poussent le pays à se confiner pour la deuxième fois face à la deuxième vague du Covid-19, l’Etat a choisi de poursuivre ce dispositif en le renommant « FNE Formation Rebond » et qui prendra effet à compter du 02 novembre 2020.
1 – Les grandes lignes du dispositif
Les règles changent un peu par rapport aux précédentes conditions du FNE Formation Renforcée :
Le FNE Formation Rebond va prendre en charge des coûts pédagogiques à hauteur de :
70% pour l’APDC (activité partielle de droit commun) et non plus de 100%
80% pour l’APLD (activité partielle de longue durée) ayant un plafond moyen par salarié à 6000€.
Seuls les salariés en activité partielle sont éligibles (contrairement au dispositif précédent), excluant les étudiants en alternance.
De plus, les formations qui restent éligibles à cette aide sont :
les bilans de compétences
les VAE ainsi
toutes les autres actions de formation.
Ces formations peuvent se dérouler en distanciel, en mixte ou en présentiel. La date limite pour adresser sa demande FNE est le 31/12/2020.
A savoir, le 30/06/2021 est la date limite pour réaliser des formations.
Ces demandes de subvention s’effectuent par une demande écrite auprès de la DIRECCTE (Directions régionales des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi) et qui sera signée par l’entreprise, avec l’accord des OPCO (organismes de compétences).
2 – Les avantages de ce dispositif
Selon le Carif-Oref francilien, depuis l’apparition de la Covid-19, seulement 51% des acteurs de la formation ont pu maintenir leur activité en distanciel pendant le premier confinement. Le processus de digitalisation doit par conséquent, s’intensifier pendant cette crise sanitaire.
Le FNE-Formation Rebond, prend en charge les coûts de formation en grande partie, permettant au salarié de ne pas s’endetter, n’ayant déjà plus la totalité de son salaire. De plus, ce nouveau dispositif est un vrai tremplin pour la transition écologique ou numérique car ces deux secteurs sont privilégiés par le gouvernement, étant tout deux orientés vers des métiers d’avenir.
L’objectif final du FNE-Formation Rebond est, selon les dire du premier ministre, Jean Castex, de rattraper environ la moitié des 800 000 suppressions d’emploi anticipées en 2020 par le ministre de l’Économie.
3 – La transition collective : le nouveau parcours de reconversion
Pour les personnes souhaitant se reconvertir pendant leur activité partielle, un nouveau dispositif de formation a été mis en place et a été baptisé « transition collective » par la ministre du travail, Elisabeth Borne, le 26 octobre 2020, lors de la deuxième conférence du dialogue social.
Ce nouveau dispositif s’applique aux salariés ayant leur emploi menacé par la Covid-19 et qui souhaitent se positionner sur une formation d’avenir. Cette aide sera financée en fonction de la taille de l’entreprise.
Entreprise de plus de 1000 salariés : rémunération et formation des salariés à hauteur de 40%
Entreprise de 300 à 1000 salariés : rémunération et formation des salariés à hauteur de 75%
Entreprise de moins de 300 salariés : rémunération et formation des salariés à 100%
A l’issue de la période de formation, le salarié sera repositionné soit en interne, soit vers des métiers d’avenir sur le bassin d’emploi local.
Que ce soit pour suivre les retombées d’une campagne, l’évolution du trafic d’un site ou encore pour améliorer le référencement de ce dernier, l’outil Google Analytics propose de nombreuses fonctionnalités, dont l’ajout d’un ou plusieurs utilisateurs sur un compte.
Cette fonctionnalité permet d’intégrer des membres d’une équipe sur un même compte Google Analytics afin d’optimiser les performances et l’efficacité sur un projet.
Le processus est relativement simple.
1 – Techniquement, comment faire ?
Après s’être connecté à votre compte Google Analytics, vous pouvez ajouter un utilisateur. Il vous suffit de cliquer sur l’icône « Administration » situé en bas à gauche de votre page. Par la suite, dans l’onglet Admin, trois colonnes apparaissent avec les intitulés suivants : compte, propriété et vue.
Compte : Représente votre point d’accès à Analytics. Une entreprise peut avoir un ou plusieurs compte Analytics. Il comprend le numéro de votre compte, le nom du compte, le pays où vous exercez votre activité ou encore les options de partage de données. C’est à partir du compte que vous allez pouvoir choisir les propriétés.
Propriété : Désigne un site Web, une application mobile ou un appareil. Un compte peut comporter une ou plusieurs propriétés. Lorsque vous ajoutez une propriété à un compte, Google Analytics génère un code de suivi afin de collecter des données à partir de cette propriété. Ce code contient un identifiant unique pour les données provenant de cette propriété. Il vous permet de reconnaître facilement ces données dans vos rapports.
Vue : Constitue votre point d’accès aux rapports. Il s’agit d’une vue définie des données d’une propriété. Par exemple, vous pouvez définir une vue sur un objectif précis, sur les canaux que vous souhaitez, sur des paramètres d’e-commerce (si besoins), etc…
Choisissez l’emplacement de votre choix pour ajouter un nouvel utilisateur. Après cette étape, vous trouverez la catégorie « gestion des utilisateurs du compte » qui va vous permettre de gérer les différents membres que vous souhaitez intégrer à l’outil Google Analytics.
Cliquez sur le bouton « + » en haut à droite pour ajouter un utilisateur.
Enregistrez l’adresse email du nouvel utilisateur et ajoutez-lui les autorisations dont il aura besoin en cochant les cases ci-après.
Lorsque ces étapes ont été réalisés, cliquez sur le bouton « ajouter », en haut à droite.
Félicitations ! Le profil utilisateur a été créé, vous pouvez désormais le retrouver avec les autres utilisateurs ayant accès au compte Google Analytics et voir les autorisations qui lui ont été accordé.
2 – Les différents types d’autorisations
Chaque utilisateur n’a pas les mêmes besoins et donc pas les mêmes droits d’accès. Par conséquent, vous allez accorder des droits différents selon les types de profils et d’utilisation de Google Analytics.
Voici les quatre profils d’autorisation ci-dessous :
Modifier : Les utilisateurs peuvent créer et modifier certains aspects du compte comme des propriétés, des vues, des filtres ou encore des objectifs mais ils n’ont pas accès à la gestion des autres utilisateurs.
Collaborer : Les utilisateurs peuvent créer et modifier des éléments partagés comme des tableaux de bord ou des annotations.
Lire et analyser : Les utilisateurs peuvent consulter les données de rapport et de configuration telles que l’audience, l’analyse du trafic ou encore les retombées des campagnes publicitaires.
Gérer les utilisateurs : Cette fonctionnalité permet d’ajouter, modifier ou supprimer d’autres utilisateurs et leurs autorisations.
Il est possible de cocher une seule case, plusieurs, ou toutes les cases si besoin.
Vous pouvez évidemment modifier à tout moment les droits d’accès des utilisateurs (si vous êtes administrateur du compte ou que vous avez le profil « gérer les utilisateurs »). Pour ce faire, il vous suffit de retourner dans les paramètres du compte Google Analytics concerné, cliquer sur l’onglet « gestion des utilisateurs du compte » et sélectionner l’utilisateur en question. Son profil et sa liste d’autorisations vont apparaitre sur votre écran. Vous pouvez, à ce moment, cocher ou décocher les cases que vous souhaitez.
3 – Ajouter un groupe d’utilisateur
Il est courant d’ajouter tous les membres d’une équipe en même temps. Si vous deviez créer utilisateur par utilisateur, ce serait une perte de temps. C’est pourquoi, Google Analytics est doté de la fonction « ajouter des groupes d’utilisateurs ».
Cette fonction est uniquement réservée aux groupes d’utilisateurs liés à des entreprises Google Marketing Platform.
Prochainement, un article pour vous expliquer ce qu’est Google Marketing Platform.
Le référencement technique est important : pour optimiser son site web, vous devez entrer dans son code source, examiner les performances de vos serveurs, etc.
Règle n°1 : Noms de domaine et redirection 301
Dans un premier temps, contrairement aux croyances populaires, la signification de votre nom de domaine n’a que très peu d’impact sur le référencement. Le seul avantage de posséder un nom de domaine générique comme par exemple « vtc-paris.fr » est que la Meta Title Google de votre page d’accueil pourrait être « VTC Paris : les meilleurs conducteurs à la demande à Paris ». C’est ce qui apparaît directement dans le résultat Google.
N’oubliez pas que le premier mot aura plus d’impact aux yeux de Google que le second, et le second que le troisième, etc. De plus, avoir un nom de domaine court est une bonne chose, carce sont les 65 premiers caractères d’un titre Google qui sont le plus pris en compte.
Mais une fois que vous avez un nom de domaine comme « vtc-paris.fr », je vous conseille acheter ses variantes : sans le tiret, le .com, au singulier et au pluriel… Cela vous permettra d’entraver la concurrence potentielle de montrer à Google que vous investissez dans une meilleure expérience pour les utilisateurs qui tapent la mauvaise URL, en incluant ou non le tiret, par exemple.
Si vous avez plus d’un nom de domaine, choisissez un nom de domaine principal et faites-en sorte que le ou les domaines supplémentaires redirigent vers le site principal. On appelle cela une ‘‘redirection 301’’.
Notez également que l’ancienneté d’un nom de domaine est un critère important pour Google. En effet, lorsque Google indexe votre nom de domaine dans son moteur de recherche, il atteste que ce site est en ligne et qu’il a un contenu pertinent. Donc montrer à Google que votre site est en ligne depuis de nombreuses années revient au même principe que de vous forger une bonne réputation dans votre secteur : les gens vous font confiance et se sentent mieux de vous recommander.
Règle n°2 : effectuez régulièrement des scans sitemap.xml de votre site via votre Google Search Console
Un sitemap est un fichier dans lequel vous pouvez lister les pages web de votre site afin de fournir aux moteurs de recherche des informations sur la structure du contenu de votre site. Les crawlers des moteurs de recherche comme Googlebot lisent ce fichier pour mieux explorer votre site.
Il peut être judicieux de mettre en évidence vos différentes images et créer un plan de site spécifique pour celles-ci, en utilisant les balises d’images suivantes :
<url> : la balise qui inclut toutes les informations sur une seule URL
<loc> : l’URL où se trouve l’image (html)
<image : image> : la balise qui comprend toutes les informations sur une image+
<image : loc> : l’URL de l’image. Notez que cela peut provenir d’un autre champ.
<image : caption> : légende de l’image. Utilisez des termes optimisés pour le référencement.
<image : geo_location> : l’endroit où l’image a été prise (pas toujours pertinent)
<image : title> : l’attribut title de l’image
<image : licence> : URL qui renvoie à la licence de l’image
Règle n°3 : la profondeur des pages de votre site est essentielle
La profondeur des pages d’un site détermine la facilité avec laquelle le moteur y accède depuis la page d’accueil. Les pages stratégiques doivent être accessibles en un nombre minimum d’étapes. Au-delà du 3ème niveau d’accessibilité, c’est-à-dire au-delà de 3 clics, la page est considérée comme difficile d’accès.
Règle n°4 : Personnalisation des pages d’erreur 404
L’optimisation de la page d’erreur 404 est essentielle car elle peut être l’occasion de rediriger les utilisateurs vers des pages stratégiques. Son optimisation peut également contribuer à améliorer l’exploration du site, par le biais de liens vers les principales catégories et à garder l’utilisateur sur votre site.
Règle n°5 : Assurez-vous que le temps de chargement de votre site, sur différents appareils, est rapide
Et attention à la version mobile responsive qui doit être optimisée afin de ne pas charger d’un seul coup tout le site sur un appareil mobile, mais des parties au fur et à mesure que l’utilisateur scroll. Cela évitera un temps de chargement trop long.
Règle n°6 : Optimisez vos images
Bien optimiser vos images vous permettra d’avoir un contenu homogène et de qualité. On est toujours dans l’objectif d’avoir un contenu aussi agréable à lire pour l’internaute qu’optimisé pour les moteurs de recherche.
Elles peuvent améliorer le référencement d’une page web et peuvent aussi être référencées dans Google Image, source supplémentaire de trafic.
Les moteurs de recherche ne savent pas lire le contenu d’une image. De ce fait, chaque image se doit d’avoir une description alternative. L’attribut ALT signale aux moteurs de recherche le contenu de l’image auquel il est rattaché. Faites donc des descriptions courtes et comportant si possible les mots-clés.
On vous met à disposition nos outils pour optimiser vos images. Utilisezcet outil pour les JPG,celui-ci pour les PNG et celui-là pour les PDF.
Règle n°7 : Javascript, c’est comme courir en portant un canapé.
Lorsqu’un navigateur web rencontre du code Javascript en interprétant le code source d’une page web, cela peut considérablement ralentir l’affichage de la page, surtout si le téléchargement d’un script externe est nécessaire. Évitez autant que possible l’utilisation de Javascript pour assurer un affichage rapide de la page.
Comment ? Si possible, utilisez l’une des techniques suivantes pour faire appel à des fichiers externes :
ajoutez le script dans le DOM en Javascript pendant l’événement onload
Pensez bien à placer les scripts à la fin de votre code source et idéalement à la fin du <corps>.
Règle n°8 : utilisez l’attribut hreflang pour indiquer à Google la langue de votre site
Cet attribut vous permet d’adapter votre page en fonction d’où se trouve la personne qui la consulte. Cette fonction sert à rediriger les internautes vers la version linguistique la plus appropriée. Cela peut être utile pour toucher des prospects à l’étranger mais attention à avoir les compétences pour répondre à leurs besoins. En effet si la page sert au e-commerce par exemple vous pourrez avoir des demandes de différents pays auxquels vous devriez être en mesure de faire face.
Règle n°9 : Assurez-vous que chaque élément CSS utilise son propre identifiant
Pour rappel le CSS signifie feuille de style en cascade (cascading style sheet).
L’utilisation du même identifiant pour deux éléments CSS différents peut entraîner des effets de bord, en particulier lors de l’exécution de Javascript ou de l’application de règles CSS.
Que faut-il faire ? Assurez-vous que rien sur la page n’a le même identifiant. Si vous souhaitez partager des propriétés/comportements entre plusieurs éléments, vous devrez utiliser la classe d’attributs :
<p> <span class = « mySpans »> </ span> <span class = « mySpans »> </ span> </ p>
Règle n°10 : Indiquez vos microdonnées !
Pour la visibilité, vous devez indiquer vos microdonnées, elles sont très importantes pour le référencement : https://schema.org/
Elles aideront Google à identifier votre organisation et votre entreprise et vous permettront d’obtenir des « rich snippets » dans les résultats de Google.
En général, les microdonnées sont utiles pour classer votre activité en fonction de la bonne volonté de Google, favorisant ainsi votre visibilité dans les SERP.
Vous pouvez utilisercet outil pour analyser votre utilisation des microdonnées sur votre site.
Le balisage de schema.org est facile à mettre en place. Un outil existe dans la console de recherche, mais rien n’est plus fort que le code, d’autant plus qu’il est très simple à mettre en place.
Pour les moteurs de recherche le début d’une page web à plus de poids que sa fin. Il faut donc organiser ses contenus stratégiquement pour que les mots-clés sur lesquels vous souhaitez vous positionner apparaissent en haut de page.
La mise en gras (STRONG) doit se faire de manière modérée afin de faire ressortir les mots ou expressions importants pour votre référencement.
Les balises H1 à H6 sont probablement les plus importantes de l’ensemble du texte d’une page web. La balise H1 (une par page) est celle qui a le plus de valeur pour le référencement. Pour les moteurs de recherche, les balises H1 à H6 n’ont pas toutes la même influence. Les balises H1, H2 et H3 ont une véritable influence sur le référencement. Au-delà elles ont un rôle esthétique et ergonomique.
La balise title
80% du référencement d’une page est représenté par cette balise, d’où sa grande importance. Unique, elle ne se voit pas dans une page mais les mots-clés insérés sont ceux que les moteurs de recherches reportent systématiquement dans leur index pour l’affichage de ses résultats.
Optimisation de la balise TITLE
Une balise TITLE différente par page. La balise TITLE doit refléter le plus possible le contenu de la page.
Une balise TITLE n’est pas une succession de mots-clés en rapport avec votre activité mais une phrase attractive et « accrocheuse » contenant des mots-clés ciblés. Il faut donner envie à l’internaute de cliquer.
La balise TITLE doit contenir obligatoirement vos mots-clés les plus importants avec un sens d’importance de gauche à droite par rapport au sens de lecture des moteurs de recherches.
STRUCTURE : « phrase (avec mot-clé) + nom du site »
La balise ne doit pas comporter plus de 65 caractères environ.
Les bonnes pratiques pour optimiser son référencement :
1- Utiliser les outils Google
Pour commencer, connectez votre site aux outils Google. Google met à votre disposition plusieurs services pour vous aider à optimiser votre site web. Chez Tamento, lors de la mise en ligne d’un site nous connectons votre site sur Google Analytics & la Search console.
Vous pouvez également ajouter Google My Business à la liste.
Ces outils vont récolter et analyser les données de votre site pour ensuite vous classer dans les résultats des requêtes qui vous correspondent.
Google analytics : C’est un outil d’analyse d’audience (nombre de visiteurs, données démographiques et géographiques, source du trafic…)
Search Console : C’est un outil qui permet de vérifier l’indexation d’un site web sur Google. Google scanne le site et le référence dans ses résultats de recherches.
Google My Business : C’est un service qui vous permettra de contrôler les informations sur votre entreprise, sur les résultats Google (adresse, contact…). Votre compte Google My Business bien complété vous permettra d’être référencé dans les résultats de recherches géolocalisés.
2- Site mobile-friendly
Regardez autour de vous, dans les transports, dans la rue… les gens sont sur leur smartphone. Si vous n’avez pas de version mobile, allez en créer une. Google a déjà commencé à rétrograder les sites qui ne le sont pas.
3- Sécurisez votre site avec un certificat SSL (de http à https)
De plus en plus de navigateurs comme Google Chrome bloquent les sites en http, qu’ils considèrent comme peu sûrs. Vous devez donc disposer d’un certificat SSL pour sécuriser votre site sinon vous vous apercevrez rapidement que vous n’êtes pas référencé dans Google. C’est une certification de sécurité pour votre site internet. Et on vous en met un gratuitici!
4- La vitesse de chargement des pages
Récemment, Google a commencé à mettre BEAUCOUP plus l’accent sur la vitesse de chargement des pages, plus encore que sur un code « propre » ou de bons serveurs. Alors vous pouvez commencer par compresser les images de chaque page, par exemple en utilisant des outils comme Recompressor, TinyPNG afin de rendre le chargement de vos pages plus rapide.
5- Bien choisir le nom de domaine de son site
D’abord, idéalement, choisissez 3-4 mots et allez à l’essentiel en supprimant les articles. Ensuite, pensez au raccourci que l’utilisateur utilisera pour faire une recherche dans Google. Par exemple si offrez des services dans le domaine du mariage et que le lien de votre site est yourstartupwebsite.com/wedding-planning-tips, pensez à des mots clefs tels que : « wedding planning tips » pour correspondre et être trouvé le plus facilement possible. Là encore, le premier mot aura plus de poids que le second, le second plus que le troisième, etc.
6- La ligne de flottaison
Google est vraiment attentif au comportement des utilisateurs sur les pages. Ces derniers « scroll » rarement, c’est juste un fait.
Une très bonne façon de progresser dans le classement Google, est donc de placer un maximum de contenu de qualité au-dessus de la ligne de flottaison c’est-à-dire sur le morceau de la page que les utilisateurs voient à première vue, étant donné que rares sont ceux qui scroll.
Par exemple votre H1, un texte descriptif, une image, votre H2 et un bouton de ‘’call-to-action’’, tout cela au-dessus de la ligne de flottaison. Ce ne sera pas forcément très beau, mais ça marche très bien.
Attention aux templates WordPress ! Ils sont souvent incompatibles avec le référencement SEO car il y a trop d’espacement entre les différents contenus de la page.
7- Attention au duplicate content
Veillez à ce que chaque page ait un contenu différent pour tous ces éléments : Meta Title Google, Meta Description Google, H1, H2s, contenu de la page. Et surtout, ne volez jamais le contenu d’un autre site. Google date chaque nouveau contenu qui apparaît sur le web, alors prenez garde si vous voulez être bien référencé.
Tout contenu web en double est susceptible de subir une pénalité appelée “duplicate content”.
Les moteurs de recherche veulent diversifier autant que possible les pages web proposées dans leurs résultats de recherche. Pour ce faire, ils veillent à supprimer de leurs résultats les contenus en double.
Les moteurs de recherche considèrent comme étant du duplicate content :
– Une ou plusieurs de vos pages web sont identiques ou très proches
– Une de vos pages web est identique ou très proche d’une page d’un autre site web.
L’inconvénient du duplicate content, c’est de ne pas être du tout apprécié des moteurs. Le risque est donc d’être désindexé ou mal positionné dans les résultats des recherches. Le problème ne se pose généralement pas sur les sites multilingues.
Une note à propos du blogging
Aujourd’hui, les blogs sont une pratique marketing courante, mais ils restent surtout la meilleure stratégie de référencement SEO pour les startups.
En effet, presque toutes les startups ont une problématique de référencement SEO. Lorsqu’elles construisent leur site web, elles doivent d’abord se concentrer sur leur proposition de valeur, leur identité graphique et leur argumentaire de vente pour convaincre leur clientèle cible et enfin leur UX c’est-à-dire la conception de l’interface, qu’elle soit pratique et fluide et l’UI que l’interface soit esthétique.
Et la plupart du temps, ces éléments ne collent pas avec les standards d’optimisation SEO. Ou du moins, pas avec un référencement naturel dans Google digne de ce nom.
Pourquoi ? Pour ne donner qu’un exemple, une bonne pratique de référencement consiste à s’assurer que toutes vos pages sont accessibles en un minimum de clics, depuis toutes les pages de votre site. Et cela colle rarement avec une bon UI/UX.
Néanmoins, les startups dans le domaine du e-commerce rencontrent moins de problèmes avec cette règle SEO que les autres startups car elles classent souvent leurs pages dans des catégories/sous-catégories avec des menus déroulants.
Dans ces conditions, je vous conseille de vous concentrer sur la production de contenu, intensément si possible, sur une courte période de temps.
Je dois vous avertir : les sujets des articles de blog vous sembleront vraiment ennuyeux. C’est normal ! Vous écrivez pour Google, pas vraiment pour apporter beaucoup de valeur aux utilisateurs. (Mais ne vous inquiétez pas, ils ne lisent que les titres/sous-titres & ne regardent que les images.)
Donc si vous offrez un service dans le domaine du mariage, un bon article pourrait être « Organisation de mariage : 5 choses dont vous DEVEZ vous souvenir pour le grand jour ! ». Grâce aux mots employés dans cet article, votre blog sera mieux référencé par Google.
Une des meilleures pratiques en matière de référencement d’articles de blog est d’utiliser la technique des « Tops ». Par exemple un article : « Top accessoires pour chiots : jouets, croquettes, friandises… ».
Plus qu’un titre ‘’clickbait’’, les utilisateurs cliquent souvent sur ce genre d’URL après une recherche parce qu’ils sont convaincus que quelqu’un s’étant posé les mêmes questions qu’eux, a cherché, trouvé et classé les meilleures solutions à leur problème.
Les gens passent également plus de temps sur ce type de pages parce que l’information y est organisée et architecturée.
En ce qui concerne le rythme de rédaction, si vous créez une start-up, il y a de fortes chances que vous ayez mieux à faire que d’écrire du contenu toute la journée. Voici donc la marche à suivre :
Trouver une plateforme d’écrivains indépendants comme Fiverr ou UpWorkpar exemple.
Sélectionnez 3 à 5 rédacteurs web, et assurez-vous qu’ils sont spécialisés dans l’écriture SEO ! Attention, la rédaction d’articles de blog pour influencer est une chose différente de la rédaction d’articles de blog pour le référencement SEO.
Demandez-leur d’écrire le même article de blog
Lorsque vous recevez leurs travaux, lisez-les tous et ne publiez que le meilleur
Puis, continuez à travailler avec ces freelances
Sinon, j’ai créé un service qui répond parfaitement à ce besoin :www.SEOsecret.co. Des contenus optimisés Google SEO, à l’échelle et à prix abordable!
Note : si vous avez déjà un blog Medium, conservez-le pour écrire du contenu d’influence. Pour le contenu ciblé sur le référencement SEO, créez un blog dédié comme yourstartupwebsite.com/blog ou blog.yourstartupwebsite.com. ???
Dans cet article, vous apprendrez pourquoi et surtout comment travailler le référencement naturel et gratuit (SEO) de votre site web. Référencement sémantique, utilisation de mots clés, structure des pages, rédaction web… D’un site à l’autre, la stratégie sera différente. Il faut prendre en compte plusieurs critères comme : le secteur d’activité ou encore vos cibles.
Dans le contexte actuel, nous cherchons à occuper notre temps (si vous êtes en chômage partiel, bien sûr !), à mettre à jour nos compétences, à dynamiser notre carrière professionnelle, à acquérir de nouvelles connaissances ou tout simplement à changer d’emploi… C’est l’occasion ou jamais de nous remettre sur pied et de consolider nos acquis ou d’en créer de nouveaux.
Il existe aujourd’hui 3 types de formation différents, mais laquelle vous convient le mieux ?
Les 3 types de formation qui existent aujourd’hui :
La formation qualifiante
La formation certifiante
La formation diplômante
1 – La formation qualifiante
La formation qualifiante permet de développer ou d’actualiser ses compétences afin de s’adapter aux nouveaux outils du monde du travail.
Cette formation se déroule de quelques heures ou jours à quelques mois dans un organisme de formation ou en interne dans votre entreprise par un centre de formation, elle est intensive afin d’être rapidement opérationnels.
Si vous êtes salarié, indépendant ou demandeur d’emploi, elle vous permettra de bénéficier de compétences additionnelles, de renforcer vos points forts, de vous placer en situation favorable pour une évolution ou une reconversion professionnelle et d’élargir votre recherche d’emploi.
En interne ou au sein d’un organisme, chaque organisme propose différentes formules par secteur (modules longs, courts, cours d’été, cours du soir, formation à distance, etc.) pour répondre à vos besoins, vos attentes et votre disponibilité.
Aucun diplôme ou titre ne sera délivré à l’issue de cette formation, mais un certificat de stage ou d’aptitude vous sera remis, ils valideront votre formation et les compétences acquises au cours de celle-ci.
2- La formation certifiante
Cette formation vous permet d’obtenir un certificat de qualification spécifique à une branche professionnelle (CPQ). Elle est reconnue dans toute la France. La valeur de la formation est souvent indiquée par des normes (ISO, AFNOR…).
Elle est destinée aux adultes en activité. Ces certifications sont classées de I à IV du plus haut niveau au plus bas niveau de responsabilité professionnelle.
Il existe 3 catégories de certificats :
Les diplômes délivrés par l’État (via les ministères)
Les titres professionnels inscrits au Répertoire National des Certifications Professionnelles (RNCP), délivrés par les établissements de formation : il s’agit d’une attestation émise par le Ministère de l’Emploi, c’est la preuve d’avoir suivi une formation qui lui a permis d’acquérir des compétences et qualifications spécifiques dans le cadre de ses activités professionnelles. Il y en a plus de 300 dans le Répertoire national des certifications professionnelles.
Les certificats de qualification professionnelle (CQP) : il s’agit d’une certification spécifique à la branche professionnelle dans laquelle le certificat a été créé, et qui est reconnue par les entreprises du secteur. Il ne s’agit pas d’un diplôme puisqu’il n’est pas reconnu par l’État, mais par le monde professionnel. Il permet la reconnaissance des qualifications et des compétences spécifiques à un métier.
3- La formation diplômante
Cette formation se déroule dans une école, une université ou un centre spécialisé. Il s’agit d’une formation de longue durée qui s’adresse aux personnes souhaitant se reconvertir et obtenir un diplôme.
La formation diplômante permet d’obtenir un diplôme reconnu par l’État. Du CAP au Master professionnel. Ces diplômes sont classés selon 2 critères : le nombre d’années d’études, et le niveau de celles-ci.
Chez Tamento, nous proposons des formations qualifiantes et des formations certifiantes
Elles sont toutes dispensées par nos experts qui sont des professionnelsformateurs (et non des formateurs professionnels !). C’est-à-dire que nos formateurs sont des experts dans leur métier, et toutes les formations qu’ils dispensent sont leur travail quotidien.
Dans toutes nos formations, il y a des exercices pour vous mettre en situation et tous ces exercices sont basés sur des cas réels rencontrés au cours de leurs différentes expériences.
Et pour les formations certifiantes, nous sommes centre de certification PCIE-ICDL, ce qui nous permet de vous proposer des certifications autour des thématiques du marketing numérique ou de la création de site internet.
Nouvelle année, nouvelles tendances graphiques & colorimétriques pour 2020. Dans cet article, nous vous proposons un récapitulatif des inspirations graphiques qui vous seront utiles pour surfer sur la tendance 2020.
En bas de l’article, retrouvez une infographie à télécharger gratuitement. Elle pourra vous servir de mémo lors de vos créations graphiques ou pour la préparation de vos briefs.
1. La couleur
L’institut de couleur Pantone a révélé il y quelques semaines LA COULEUR de l’année 2020, le PANTONE classic Blue : “Inspirant la sérénité, la confiance et le partage, cette teinte de bleu immuable souligne notre désir de bases fiables et stables sur lesquelles bâtir au seuil d’une nouvelle ère.”
Cette teinte de bleue, à la fois classique, apaisante et lumineuse est un atout pour vos créations web et print. Elle peut servir de couleur de “base” que vous pourrez associer à une couleur plus dynamique, punchy qui créera le contraste et dynamisera l’ensemble de votre création. L’institut de couleur pantone propose plusieurs palettes de couleurs complémentaires que vous pouvez utiliser avec ou sans la couleur de l’année.
Globalement, les teintes complémentaires sont dans des tonalités naturelles, douces où au contraire plus vives pour créer du contraste.
2. La simplification
En 2020, on modernise les lignes graphiques des logos. On favorise les traits épurées, les formes simples, claires et nettes. Le minimalisme fait son grand retour en envoyant valser les éléments superflus et laissant place à la simplicité. Votre objectif : créer un logo le plus intemporel possible, lisible sur multi-supports (pour un site web responsive comme une affiche), facilement déclinable et adaptable.
Des logos “emblèmes”
Quand on dit “logo emblème”, on imagine un logo en forme de badge ou d’écusson. C’est bien ça, une symbolique et un design traditionnel que l’on aura re-modernisé. Cette forme de macaron, un peu comme un tampon que l’on appose sur nos documents, va venir donner force et caractère à votre image de marque. Garder l’essentiel des codes de l’emblème en simplifiant le design.
4. Des associations de typographies
En 2020, osez les contrastes en combinant des typographies aux styles très différents.
On casse par exemple le côté “rigide” d’une typographie sans sérif avec une baseline manuscrite. Soyez créatifs en juxtaposant des typographies très différentes et donner du dynamisme et du mouvement à vos logos.
5. Les dégradés
Si vous souhaitez dynamiser et donner de la force à votre logo, vous pouvez conserver l’esprit minimaliste de la composition et de la typographie en ajoutant de l’originalité avec un dégradé de couleur. Pour conserver une harmonie des couleurs, choisissez une couleur et travaillez sur des nuances proches, vous éviterez l’effet arc-en-ciel.
6. Jeux de lettres & de typographies
Pour cette nouvelle année, la tendance 2020 est aussi aux jeux de typos et de lettres.
Vous pourrez jouer avec les lettres, les allonger, en enlever des morceaux ou encore assembler deux lettres… Laissez libre court à votre créativité en bousculant subtilement l’harmonie d’une typographie pour en moderniser le style.
Autres éléments typographiques mis à l’honneur en 2020 : les caractères spéciaux. À utiliser avec parcimonie, vous pourrez ajouter un > pour ajouter du dynamisme ou encore un & pour une forme plus poétique et graphique.
Les jeux de typographies offrent de grandes possibilités de créations. Pour vos designs de logos, vous pouvez aussi contrebalancer la tendance en mélangeant les lettres, en les dé-structurant, ou en mélangeant les mots et la composition de votre logo. Détournez l’usage des lettres en les utilisant pour créer, par exemple, un pictogramme qui illustre votre activité.
L’usage de la géométrie dans la composition de votre logo vous donnera aussi de multiples possibilités graphiques en combinant structure et équilibre, et dynamisme et originalité. On donne du rythme à la composition du logo.
7. Des logos avec un élément en 3D
Les logos aux formes géométriques étaient déjà tendances en 2019. En 2020 la tendance évolue. On garde la géométrie et on y ajoute de la 3D. On donne à nos designs du volume, de la profondeur mais aussi plus de complexité. Jouez sur les perspectives et les illusions d’optiques pour capter l’attention de vos clients. La 3D, peut donner une dimension très moderne et technique pour des logos dans les secteurs de l’innovation ou de la technologie par exemple.
Maintenant vous savez tout des tendances graphiques pour votre logo en 2020. En résumé, on peut dire que pour cette nouvelle année les maîtres mots sont “minimalisme, géométrie et jeux de typos”. Appuyez vous des tendances qui vous parlent pour vos briefs créatifs. Surfez sur la tendance c’est s’inscrire dans son époque, tout en gardant en tête que le plus important c’est d’avoir un logo qui vous ressemble et qui vous parle.
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