Les meilleures formations sur le web ! (partie 3)

Vous souhaitez améliorer vos compétences en webmarketing sur Internet mais vous ne savez pas comment vous y prendre ? Heureusement, il existe de nombreux moyens de se former en ligne et d’acquérir des connaissances sur des thématiques très variées. Dans cette optique, voici les 3 formations indépendants sur le web qui nous semble les plus pertinentes !

Pix :

Pour le moment, ce n’est encore qu’une version bêta. Mais le gouvernement français a décidé de lancer un site internet gratuit et public à destination de toutes les personnes qui souhaiteraient améliorer leurs compétences numériques. La plateforme Pix sera disponible dès la rentrée 2017. Pour le moment, seul 4 tests sont en ligne : ceux-ci sont très courts et ne délivrent aucune certification.

Dans le futur, le site proposera de nombreuses activités sous la forme de défis. En fonction de vos résultats, Pix vous recommandera des formations ciblées pour lesquelles vous pourrez obtenir une certification officielle. En effet, celle-ci sera reconnue par le ministère de l’éducation nationale et constituera un véritable plus sur un CV.

Découvrez la formation (bêta) du Gouvernement

Linkedin Learning :

La plateforme d’e-learning mise en place par Linkedin possède de très nombreuses ressources en termes de formation. Pas moins de 9 000 cours sont disponibles sur Linkedin Learning avec des thématiques très diverses : réseaux sociaux, développement web et marketing notamment. Pour le moment, seuls les membres premium peuvent suivre ces formations : pour cela, il faut débourser pas moins de 26 euros par mois.

Heureusement, vous avez la possibilité de tester gratuitement la plateforme de formation pendant un mois. Linkedin vous permet aussi d’obtenir des badges qui prouvent votre certification qu’il est possible d’afficher ensuite sur son profil pour prouver son expertise.

Découvrez les formations Linkedin Learning

OpenClassrooms :

Les MOOC (Massive Open Online Course) sont des formations en ligne ouvertes à tous. Celles-ci permettent de se former gratuitement depuis chez soi et d’entrer en contact avec une communauté qui suivent la même formation. Sous forme de courtes vidéos, les MOOC sont des cours dynamiques ponctués le plus souvent par un quiz d’évaluation. Les thématiques abordés sont très variées : développement web, marketing digital, webdesign et beaucoup d’autres…

Sans aucun doute, la plateforme de MOOC la plus connue et qui propose les meilleurs contenus est OpenClassrooms. Le site offre aussi la possibilité d’obtenir un certificat de réussite qui prouve que l’utilisateur a suivi intégralement un MOOC. Cependant, il faut devenir un membre Premium (20€/mois) pour l’obtenir. Cette certification peut ensuite être liée sur Linkedin. Attention tout de même, le certificat n’est pas (encore) reconnu par l’Etat.

Découvrez la plateforme de formation OpenClassrooms

Pour aller encore plus loin dans l’univers des formations en ligne, découvrez aussi notre MOOC les clés pour devenir community manager et notre MOOC les clés pour réussir son référencement.

Voici pour nous les 3 formations indépendantes les plus pertinentes du moment. Bien sûr, cette liste est non-exhaustive et nous serions ravis de connaître vos références en termes de formation sur le web. Pour aller plus loin, découvrez aussi nos articles : les meilleures formations sur le web (partie 1) et (partie 2) d’après nos recherches !

Les meilleures formations sur le web (partie 2)

Vous souhaitez améliorer vos compétences en webmarketing mais vous ne savez pas comment vous y prendre ? Sur Internet, il existe de nombreux moyens de se former et d’améliorer ses connaissances sur de très nombreuses thématiques. Dans cette optique, nous vous proposons les 3 formations sur le web conçues par des partenaires sociaux qui nous semblent les plus pertinentes. Celles-ci abordent des sujets importants du webmarketing comme les réseaux sociaux ou encore l’Inbound Marketing.

Hubspot Academy :

Ouverte à tous, la Hubspot Academy est une plateforme de formation à l’inbound marketing principalement. Si certaines formations sont réservées uniquement aux partenaires et aux clients HubSpot, les certifications ouvertes à tous sont totalement gratuites et réellement valorisables sur un CV.

La formation Inbound Marketing reste la principale et est plutôt bien fournie avec des vidéos et des quiz. En plus d’avoir l’avantage d’être totalement gratuite, la certification vous garantit un niveau expert en Inbound Marketing car elle aborde de nombreux sujets comme le SEO, le lead nurturing ou encore les e-mailings. De plus, vous pouvez facilement entrer en contact (groupe Linkedin, Twitter) avec les autres personnes qui suivent la même formation que vous.

Retrouvez la Hubspot Academy

Buffer :

Sur Buffer, le format de la formation est quelque peu différent car tout se passe par email. En effet, après s’être connecté via Facebook, Twitter ou Linkedin, vous n’avez plus qu’à choisir un cours parmi les 6 formations proposées. Vous recevrez alors un mail par jour sur la thématique choisie.

Sans surprise, ce sont bien les réseaux sociaux qui sont abordés avec notamment une formation pour devenir un expert des médias sociaux ou encore un cours sous forme de guide pour débuter sur Twitter. Ces formations sont totalement gratuites mais ne proposent pas de certifications.

Retrouvez la formation Buffer

Hootsuite Academy :

Hootsuite a lancé son Academy qui permet de se former rapidement à l’utilisation des médias sociaux. La formation comprend environ quatre heures de contenu vidéo afin de vous préparer à l’examen final pour obtenir une certification officielle. Par exemple, l’optimisation de profils sociaux et la création d’une stratégie digitale sont abordées dans la formation.

Cependant, tout cela a un coût ! Pour obtenir la « Social Marketing Certification », vous devrez débourser pas moins de 199$ soit 227€. Fort heureusement, si vous échouez à l’examen final de 60 questions à choix multiples, vous pourrez le repasser autant de fois que vous le souhaitez. De plus, la certification reste valide toute la vie.

Retrouvez la certification Hootsuite Academy

Voici pour nous les 3 formations de partenaires sociaux les plus pertinentes du moment. Bien sûr, cette liste est non-exhaustive et nous serions ravis de connaître vos références en termes de formation sur le web. Pour aller plus loin, découvrez aussi nos articles : les meilleures formations sur le web (partie 1) et (partie 3) d’après nos recherches !

Les meilleures formations sur le web (partie 1)

Qui dit nouvelle année, dit nouvelles résolutions ! Les repas de fêtes digérés, nous sommes nombreux à vouloir débuter 2017 sur de bonnes bases. Pour cela, nous vous proposons quelques certifications à obtenir pour perfectionner vos compétences et vous former au webmarketing depuis chez vous. En plus d’être un véritable atout sur votre CV, ces formations sont l’occasion idéale pour améliorer vos connaissances !

La formation Facebook BluePrint :

L’importance et l’efficacité de Facebook dans les stratégies de communication digitales n’est plus à prouver. En effet, les entreprises sont de plus en plus nombreuses à utiliser les publicités Facebook. Mark Zuckerberg a voulu aider les webmarketeurs à utiliser au mieux la plateforme publicitaire de son réseau social à travers une plateforme d’e-learning. Ainsi, Facebook Blueprint propose 34 cours en lignes gratuits et accessibles à tous.

Pour vous inscrire et tout savoir des Facebook Ads, vous n’aurez qu’à vous identifier avec votre compte Facebook. Cependant, si vous souhaitez obtenir une certification à ajouter dans votre CV, vous devrez débourser pas moins de 130€ par certification.

Retrouvez la certification Facebook Blueprint

La formation Twitter Flight School :

Tout comme Facebook, Twitter a lancé son outil de formation entièrement gratuit pour permettre à ses utilisateurs de maitriser au maximum la plateforme de l’oiseau bleu. Ouverte à tous, la Twitter Flight School s’adresse en particulier à tous les amateurs et les professionnels du webmarketing qui souhaite optimiser leur présence sur la plateforme de microblogging.

Pour s’inscrire, il suffit de renseigner votre adresse email et de vous connecter avec votre compte Twitter. Ensuite, vous n’avez plus qu’à lancer votre premier module pour commencer à apprendre les bases de Twitter. Ensuite, vous pourrez retrouver les documents de la formation dans votre espace.

Retrouvez la Twitter Flight School

La formation Digital Active de Google :

La Digital Active est une formation en marketing digital à destination des étudiants. Elle existe aussi en version « professionnelle » du nom de Google pour les Pros et s’adresse plutôt à toutes personnes souhaitant développer son activité. Totalement gratuite, la plateforme propose une certification en fin de formation qui peut constituer un véritable plus sur un CV notamment.

Parmi les sujets abordés, on retrouve des problématiques comme l’augmentation des ventes en ligne, l’optimisation de sa présence sur les réseaux sociaux ou les avantages du référencement naturel sur Google. Pas moins de 90 cours sont disponibles sur la plateforme et chaque vidéo est ponctué d’un quiz afin d’en évaluer la compréhension.

Retrouvez la Digital Active de Google

Voici pour nous les 3 meilleures formations sur le web en ce moment ! Cette liste est bien sûr non-exhaustive et nous serions ravis de connaître vos références en terme de formation sur le web. Pour aller plus loin, découvrez aussi nos articles : les meilleures formations sur le web (partie 2) et (partie 3) d’après nos recherches !

Les messageries instantanées, les nouveaux réseaux sociaux ?

Depuis quelques années maintenant, l’enthousiasme autour des applications de messageries instantanées ne cesse d’augmenter. Celles-ci disposent d’audiences assez impressionnantes qui se rapprochent fortement de celles des réseaux sociaux. Devant cette explosion des messageries instantanées, peut-on imaginer qu’elles détrônent un jour les réseaux sociaux ?

La croissance des messageries instantanées

D’après une étude récente, les américains passent 58 minutes par jour sur leur smartphone en moyenne et consacrent plus de 30 minutes à l’envoi de messages. A l’échelle mondiale, plus d’une personne sur deux utilisent quotidiennement une application de messagerie instantanée.
Aujourd’hui les services de discussions instantanées sont utilisés, sans surprise, par des millions d’utilisateurs actifs. Devant cet intérêt croissant pour les messageries instantanées et la multiplication des smartphones, des réseaux sociaux comme Facebook, Twitter ou encore Instagram (avec les Instagram Direct) ont développé leurs propres services de messageries instantanées. Et les chiffres sont sans appel !

Fin 2016, Facebook compte un peu plus d’un milliard d’utilisateurs actifs sur WhatsApp, plus d’un milliard sur Facebook Messenger et 500 millions de personnes utilisent Instagram.

Écosystème Facebook en 2016

Écosystème Facebook en 2016

Du côté de Twitter, c’est plus de 300 millions d’utilisateurs qui se servaient des Direct Message (DM) pour communiquer. En d’autres termes, les audiences des quatre plus gros services de discussion instantanée rattrapent à grande vitesse le nombre d’utilisateurs des quatre réseaux sociaux les plus influents (voir graphique ci-dessous).

graphique messagerie

Les réseaux sociaux VS les messageries instantanées

Pour analyser et comprendre ces chiffres, il est intéressant de se soucier de la fonction remplie par chacun de ces moyens de communication. Les réseaux sociaux permettent de partager du contenu de manière « publique » ; soit à ses amis dans le cadre d’un compte personnel ou à tout le monde dans le cadre d’une page publique. Les publications et les commentaires sur les réseaux sociaux sont assez éloignés du message à caractère personnel.

Au contraire, les messageries instantanées permettent plutôt d’engager une conversation confidentielle que ce soit avec une ou plusieurs personnes. Le dialogue se fait de manière privé et n’est rendu public à aucun moment. Dans le cadre d’une conversation avec une marque sur Facebook ou Twitter, l’utilisateur se sent forcément plus rassuré et en confiance car ses propos resteront privées. Il sera bien plus enclin à s’exprimer et à s’engager dans la discussion plutôt qu’une conversation publique sur les réseaux sociaux.

En résumé, les réseaux sociaux et les messageries instantanées sont différents… mais se complètent. Les deux services remplissent des fonctions totalement différentes. Sur Facebook ou Twitter, on partage, on commente avec une certaine retenue car notre message peut-être lu par plusieurs personnes. Sur Facebook Messenger ou via les Direct Message de Twitter, on partage un contenu privé et ciblé avec une ou plusieurs personnes en particulier. Finalement, ces deux services se complètent et cohabitent parfaitement sans jamais se gêner.

Le troll, meilleur ennemi du Community Manager

Connaissez-vous les « Trolls » ? Pas de panique, nous ne parlerons pas de ces créatures monstrueuses que l’on peut retrouver dans les films mais plutôt de ces internautes qui utilisent les réseaux sociaux pour se plaindre sur le web. Face à ces attaques, les community managers se posent tous la même question : comment faut-il réagir face à un troll sur les réseaux sociaux ?

Qu’est-ce qu’un troll ?

A l’origine, le troll est né sur les forums de discussion dans les années 1990. Les modérateurs remarquaient assez facilement des utilisateurs agressifs qui détournaient les conversations pour créer des polémiques n’ayant aucun lien avec le sujet initial. Aujourd’hui, le terme est parfaitement intégré dans notre langage et désigne toute personne qui cherche à créer une polémique (généralement de manière humoristique).

Repérer un troll sur le web n’est pas compliqué : il saisira la moindre occasion (même s’il n’y en a pas) de contredire les propos d’une marque sur les réseaux sociaux. Son objectif est simplement de semer le désordre sur une page ou un compte. Le plus souvent, il tiendra des propos agressifs et provocateurs sans aucune argumentation.

A ce niveau-là, l’interprétation du community manager est essentielle. Il est très important de distinguer un troll d’un simple commentaire négatif ! Certains internautes utilisent les réseaux sociaux à juste titre simplement dans le but de régler une situation conflictuelle avec une marque. Il est primordial de répondre à ce genre de commentaires. Le troll, quant à lui, cherche à créer le conflit mais ne souhaite aucunement le résoudre.

Comment réagir face à un troll ?

Bien sûr, il ne faut en aucun cas laisser les trolls polluer vos réseaux sociaux à coup de commentaires tous plus inutiles les uns que les autres… Face à cela, les community managers peuvent adopter trois attitudes :

– bannir : c’est la solution la plus radicale mais certainement l’une des plus efficaces. En effet, il est possible de bloquer une personne d’une page et de demander ensuite son bannissement total du réseau. Bien sûr, celle-ci pourra toujours se créer un nouveau compte mais elle sera surement moins enclin à « troller » une marque qui l’a déjà sanctionné plutôt qu’une autre plus laxiste à ce niveau-là. De plus, il est possible et conseillé de mettre en place une charte de modération de la page afin de prévenir et d’expliquer les éventuels bannissements.

– ignorer : sur les réseaux sociaux, les internautes sont habitués à voir des trolls. Dans la plupart des cas, ils passent outre et ne réagissent pas aux propos des trolls. Dans ce cas-là, les community managers peuvent se permettre de ne pas prêter attention à ce genre de commentaire isolé. Sur Facebook cependant, l’idéal sera tout de même de masquer la remarque du troll. Ainsi, elle ne sera plus visible par le grand public (seuls les amis de la personne pourront encore voir le commentaire).

– répondre : lorsque l’intervention d’un troll suscite des réactions ou même pire lorsqu’il arrive à rallier certaines personnes à sa cause, le community manager doit réagir ! Cette solution doit être utilisée en dernier recours car il est quasiment impossible de raisonner une personne qui rejette tout débat. Pourtant, certains community managers arrivent à tirer un net avantage dans ce genre de conflit en faisant preuve d’ingéniosité face aux trolls…

 

Comment tirer profit d’un troll ?

A condition de faire preuve d’humour et d’originalité, certains trolls sont des opportunités énormes pour séduire et plaire à sa communauté. Une réponse avec intelligence et élégance est généralement appréciée sur les réseaux sociaux. L’humour est souvent l’atout ultime pour faire retomber une pression inutilement installée par la remarque d’un troll.

En contrôlant habilement un troll, le community manager prouve son sens de la répartie et permet à une marque de séduire encore plus sa communauté. Dans certains cas, une bonne réponse peut même devenir virale et permettre à une marque de gagner de nouveaux abonnés. Attention cependant, répondre à un troll n’est clairement pas une tâche facile ! La réponse doit être impérativement judicieuse dans son contenu et surtout en adéquation avec l’image de la marque.

En résumé, le meilleur ennemi du community manager peut aussi devenir un véritable atout pour la communication d’une marque. Pour illustrer cela, voici quelques exemples humoristiques et efficaces de gestion de trolls sur les réseaux sociaux :

 

Comment répondre à un troll sur Twitter ?

 

Comment bien répondre à un troll sur Twitter ?

 

Pour autant l’humour n’est pas forcément obligatoire pour répondre à un troll. Une réponse neutre mais efficace peut être tout autant bénéfique pour une marque :

 

Comment répondre à un troll ?

Et si on passait des bons #Moments sur Twitter ?

La fin de Twitter, c’est pour bientôt ? Malgré les rumeurs, l’application continue d’innover avec une nouvelle fonctionnalité appelée « Moments ». Son but est de permettre aux « twittos » de suivre les principaux événements et les actualités en temps réel…

Les « Moments », qu’est-ce que c’est ?

Ceux qui connaissent Twitter diront que la fonctionnalité Moments n’est pas nouvelle sur l’application… et ils ont raison ! Seulement, Twitter a décidé de rendre cette fonctionnalité accessible à tous. Seules les marques et les influenceurs pouvaient l’utiliser jusqu’à présent. Malgré tout, ne vous étonnez pas de ne pouvoir utiliser les Moments Twitter dès maintenant. La fonctionnalité est en cours de déploiement sur ordinateur et il faudra encore patienter pour les utilisateurs de Twitter sur mobile ! #BePatient

Cette nouveauté permet aux utilisateurs de regrouper des tweets par thème : un projet, un produit, un événement par exemple…  Chaque sujet abordé contient un titre, une photo et une courte description. Ainsi, les utilisateurs de Twitter accèdent très facilement aux informations en « swipant » et peuvent ensuite interagir avec celles-ci.

Avec cette innovation, Twitter propose un accès simplifié à l’information. En effet, l’utilisateur n’a plus besoin de chercher les comptes qui parlent d’un sujet en question pour obtenir des informations. En d’autres termes, il sera possible de suivre un Moment crée par un utilisateur sur Twitter au lieu de plusieurs comptes qui traitent d’un même sujet.

Vous pouvez suivre le Moment que vous souhaitez. Les nouveaux contenus ajoutés à celui-ci apparaîtront dans votre timeline Twitter ou sur la page du Moment en question.

Pourquoi des « Moments » sur Twitter ?

Ce n’est plus un scoop, Twitter est en manque de rentabilité. Cependant, le réseau social essaie de se donner un nouvel élan avec cette généralisation de la fonctionnalité Moments.  Ainsi, le réseau de microblogging apporte une nouveauté intéressante qui pourrait se révéler être un potentiel nouveau support pour afficher de la publicité. A l’image de Snapchat ou Instagram, nous pouvons y voir une certaine similarité avec les Stories à la seule différence que Twitter ne propose pas de tweets éphémères.

De plus, cette fonctionnalité offre la possibilité à ses utilisateurs de partager des Moments avec des personnes non-inscrites sur le réseau social. Grâce à cela, Twitter se donne une bonne opportunité de faire sortir ses contenus hors de son réseau pour se rendre d’autant plus visible sur la toile par l’intermédiaire des autres internautes. De cette manière, Twitter pourrait bien attirer de nouveaux utilisateurs.

Comment ça marche ?

Comment faire un Moment depuis votre profil

Pour l’instant, les Twitter Moments sont réalisables uniquement depuis un ordinateur. Pour cela, il suffit de se rendre sur son profil, de cliquer sur Moments puis « Créer un nouveau Moment ».

Ensuite, l’outil de création vous propose d’ajouter un titre, une description et une image de couverture pour votre Moment.

Enfin, il ne vous reste plus qu’à ajouter du contenu et le publier. Pour cela, vous avez différents moyens de procéder :

– ajouter des tweets que vous avez aimés,

– ajouter des tweets depuis un compte précis,

– ajouter des tweets via l’outil de recherche de tweets,

– ajouter des tweets en collant le lien de celui-ci.

Comment ajouter des tweets à un Moment sur Twitter

Twitter recommande de limiter ses Moments à 10 tweets pour ne pas les surcharger. Il est aussi conseillé de varier les contenus pour éviter la monotonie : GIFs, vidéos, photos… La généralisation de la fonctionnalité pour les utilisateurs a été très bien reçue sur le réseau social et les usagers semblent curieux et enthousiastes à l’idée de partager leurs Moments sur Twitter ! Et vous ?

WonderLaura : l’interview

Vous nous lisez sur notre blog mais connaissez-vous vraiment les personnes qui travaillent pour Tamento ? L’agence regorge de super-héros qu’il nous semblait important de vous faire connaître. Aujourd’hui, découvrez l’interview de WonderLaura : chef de projet chez Tamento !

Commençons soft, quel est ton rôle dans l’agence ?

A l’agence, on a 3 manières de procéder pour proposer nos compétences :

  • en délégation, c’est-à-dire que l’on intègre nos « compétences » chez le client pour une durée définie selon ses besoins.
  • en formations, (oui nous sommes un centre de formation agrée) nous formons à nos métiers, en nos locaux ou bien directement en entreprise. Ainsi, nous formons nos clients sur des compétences spécifiques qui répondent à leurs besoins.
  • en studio, c’est-à-dire que l’on produit des outils (site Internet, landing pages, emailing, print etc…) répondants aux besoins précis de nos clients.

Et donc, je suis chef de projet web pour Tamento mais plus particulièrement pour le studio, c’est-à-dire que je suis l’interface entre le client et les équipes de production comme les web designers, les développeurs et les CMs parfois. Je gère les plannings de production, j’envoie des mails, je passe des coups de fils et c’est bien connu, je me fais les ongles.

comment travaille tamento

Quel est ton meilleur souvenir chez Tamento ?

Mon meilleur souvenir chez Tamento, c’est l’anniversaire surprise que nous avons organisé pour notre boss, Laurent Galichet, dans le sud de la France. Une surprise qui n’en était pas vraiment une finalement puisque nous avions mêlé nos enfants à cela et ceux-ci ont largement dévoilé le secret. En effet, Laurent n’est pas capable d’apprécier des surprises donc il a manipulé les enfants afin de soutirer des informations nécessaires à la compréhension de cette surprise. Malgré cela, on s’est tous réunis un week-end dans le sud de la France et c’était super !

Quelle est la chose indispensable sur ton bureau ?

Mon carnet de notes ! C’est une contradiction dans mon job car je travaille sur le web mais j’ai absolument besoin d’avoir des posts-it pour faire mes to do list. Donc plus globalement, je dirais le papier. Carnet de notes, post-it, stylo, y a que ça de vrai !

Quelle est ta playlist pour travailler ?

Ce que j’apprécie particulièrement pour travailler c’est mon flow Deezer qui comprend tous les styles musicaux que j’écoute. Mais ce qui me motive vraiment, c’est de pouvoir chanter ce que j’écoute pendant que je travaille ! Ce sont principalement les comédies musicales qui m’animent et me motivent. Si je devais en choisir une ? Les 10 Commandements !

Le super pouvoir que tu voudrais avoir ?

Ce serait de pouvoir arrêter le temps… Des fois, j’aimerais pouvoir faire pause ! Dans le cadre de mon boulot, ce serait bénéfique car j’aurais plus de temps pour réfléchir, pour poser les choses afin de respecter des deadlines parfois irréalisables.

Ta blague préférée ?

Alors je n’ai pas vraiment de blague mais j’ai une devinette qui est drôle, c’est ma fille qui me l’a apprise ! Qu’est-ce qu’un petit truc rose qui va de branche en branche ? Un chewing-gum collé au slip de Tarzan !

Les « Tu préfères » :

Tu préfères revoir un client ou revoir ton ex ? Revoir un client !

Tu préfères répondre à un appel d’offre ou répondre à ton opérateur qui te fait une offre ? Répondre à un appel d’offre mais officiellement c’est plus répondre à mon opérateur !

Tu es plutôt CM ou MC ? MC !

Tu as plutôt des projets plein la tête ou la tête pleine de projets ? Des projets plein la tête !

Et pour terminer, avoue une chose que tes collègues ne savent pas sur toi... Je déteste mes pieds !

Quoi de mieux qu’une telle conclusion pour terminer (en beauté) cette interview ?! Remercions une nouvelle fois Laura qui a parfaitement joué le jeu et qui a su mettre les pieds dans le plat ! 😉

Les 7 commandements d’une infographie réussie !

1°) Ton sujet tu définiras

C’est la première étape, et elle est très importante ! Il faut absolument éviter les sujets trop généralistes ou déjà vu et re-vu. L’infographie est un format innovant, alors il faut mettre en avant un sujet original et ludique !
Le sujet doit parler à vos cibles. Il doit être sur un thème intéressant et qui n’a pas encore été vraiment abordé. C’est ce qui donnera de l’intérêt à votre infographie.
Si vous avez le thème, il faut maintenant des données, et c’est le deuxième point très important avant de se lancer dans la « création ».

Le conseil Tamento : Si vous souhaitez vous lancer, gardez en tête qu’il vaut mieux parler d’un sujet que l’on maîtrise bien. Cela aura comme conséquence d’installer un peu plus votre autorité et votre expertise auprès de vos lecteurs.

2°) Des sources fiables tu utiliseras

Si on aborde un sujet, et qu’on utilise des sources il faut s’assurer de leur crédibilité, de leur véracité et il faut les mettre en avant pour rendre l’infographie pertinente.
L’utilisation de données publiques vérifiables est un bon moyen d’accroître la crédibilité du message délivré. On appelle ça « l’Open Data » pour tout ce qui concerne les données ouvertes au public.

3°) Un titre accrocheur tu trouveras

Il faut qu’il soit court et précis ! Le titre, c’est le premier vendeur de votre infographie. Il faut évidemment éviter d’être trop racoleur ou voir déceptif. Le titre de l’infographie aura un fort impact sur le taux de clic de votre infographie.
Les titres commençant par des nombres sont souvent appréciés et plus facilement partagés (Un titre comme « 7 piliers d’une infographie réussie »).

Le conseil Tamento : Et n’oubliez pas de proposer avec votre infographie, un texte reprenant une partie des informations de vos recherches et des termes importants. C’est important pour votre référencement puisque le titre sera également le lien de votre infographie.

4°) Un cheminement logique tu mettras en place

La mise en place du cheminement logique est un point clé de l’infographie. Elle passe par 3 étapes :

· La curation du contenu
· La mise en place d’un plan
· La sélection de l’information.

Il faut en plus réfléchir à la présentation visuelle des données recueillies (on parle alors de data visualisation) et mener un travail graphique (choix des icônes, couleurs, etc).

5°) Un format pour chaque support tu utiliseras

Il ne faut pas se tromper et bien choisir !
Le format de votre infographie peut être vertical ou horizontal. Mais ce choix de format doit se faire en fonction du support sur lequel l’infographie sera publiée : un blog, un site ou un réseau social … Certains formats d’images sont plus ou moins adaptés (sur Facebook par exemple, le format vertical n’est pas bien lisible).

Le conseil Tamento : Une infographie est un format image, il faut donc qu’elle soit rapide à charger, et son poids aussi réduit que possible. Pour la publication, choisissez un format standard comme le .jpg ou .png.

6°) Un univers graphique tu choisiras

C’est en grande partie, le sens de votre infographie qui repose sur le choix des éléments graphiques (formes, polices, couleurs etc.).
L’esthétisme est et reste un critère fondamental dans la réussite et la diffusion de votre infographie.
Utilisez des visuels qui ont du sens !
Ceci n’empêche pas d’accompagner l’infographie de textes explicatifs, parfois nécessaires pour comprendre les éléments dans leur contexte.
Le visuel reste un élément très subjectif, mais une infographie doit d’être attrayante, colorée et lisible.

Le conseil Tamento : optez pour un nombre de polices et de couleurs différentes. On considère généralement que l’utilisation de 2 polices différentes et 3 à 4 couleurs est un bon compromis. Au-delà, votre infographie risque de devenir trop chargée.

7°) Enfin, ton infographie tu partageras

Les réseaux sociaux, les emails, les formulaires, les blogs… Tous les moyens sont bons !
L’infographie a un fort potentiel viral. Si vous la publiez sur votre mur ou sur votre page, vos fans la partagent, leurs amis la voient, et les amis de leurs amis également.

 

Si cet article vous a intéressé, je vous invite à découvrir nos offres de création d’identité visuelle.

Community Manager, l’Indiana Jones des événements

Dans cet article, nous ne parlerons pas de live-tweet mais bien de faire vivre au mieux, au cœur de l’action, un événement à une communauté. Le Community Manager peut être, tel un Indiana Jones du web, appelé à quitter son bureau pour faire vivre un événement à sa communauté. Mais comme toute mission périlleuse, il faut se préparer, anticiper et déjouer les pièges qui peuvent se dresser sur la route.

Tout commence à l’annonce de l’événement.

La première question qui viendra est : quel est l’intérêt pour la marque de la présence d’un Community Manager sur place ? Prévenez votre communauté à l’avance, ils seront alors dans l’attente de vivre un moment spécial sur leurs réseaux sociaux préférés. Un peu comme si vous dévoiliez la bande annonce du film de votre prochaine aventure ! Pensez à prévenir vos fans à l’avance en faisant un peu de teasing afin d’aiguiser leur sens de la curiosité et leur donner envie de participer à cet événement.

Prévoyez une ligne éditoriale remaniée pour l’occasion. Les réseaux sociaux sont de plus en plus mobiles ou éphémères. Relayer un événement devient de plus en plus simple et ouvert à de nombreuses possibilités. Photos, vidéos, live, vidéos 360°… Pourtant la ligne la plus innovante n’est peut-être pas la plus sure. Une connexion défaillante et suivre un live devient désagréable. Une photo 360 degré avec vos concurrents dans le champ ne rendra pas le meilleur effet.

Comme Indiana, prévoyez toujours une solution de secours. Vidéos filmées dans les conditions du direct puis diffusées, photos de l’intérieur du stand plutôt que de l’extérieur…

Une fois toute la préparation terminée, il s’agit d’organiser le voyage qu’est l’événement. En effet il ne faut pas se perdre dans le dédale des allées, rester hypnotiser face à une animation ou se retrouver bloquer à un endroit quand on voudrait être à un autre. Pour cela une organisation sans faille est nécessaire. Ne comptez pas que sur l’organisation au millimètre de votre couverture de l’événement car comme dans tout spectacle, il y aura toujours un imprévu. Et ce n’est pas forcément une mauvaise chose. Il vous faudra juste toute être prêt à déployer vos techniques et vos outils afin de transformer cet imprévu en valeur ajoutée de votre prestation et améliorer ainsi l’expérience de votre communauté.

Pour cela vous disposez déjà de nombreux outils. CM seul ou en équipe, un agenda partagé et réparti entre les personnes vous permettra d’une part de ne rien rater mais aussi de toujours savoir où se trouve votre co-équipier. Un cloud partagé recensant le contenu dont vous disposez sur les sujets qui seront abordés lors de l’événement vous évitera de devoir aller fouiller votre site ou source de contenu pendant l’événement. Oui Indiana Jones travaille seul à l’écran, mais c’est sans compter sur l’équipe de scénaristes et techniciens qui l’aident (discrètement) à s’en sortir !
Enfin avant de partir, il vous faut le bon matériel. Un chapeau et un fouet, j’en suis désolé, ne seront que d’une utilité (très) limitée. Optez plutôt pour la fibre et le smartphone. Voir même 2 smartphones, avec une carte sim et un opérateur différent peut-être, une batterie supplémentaire (power bank), un câble de rechange…

Le smartphone, cet allié qui ne vous lâche pas des vacances, est votre meilleur atout. Mais pas le seul. Un ordinateur portable vous permettra de gagner en confort de travail lors de temps particuliers. Un transfert de vidéos sur Youtube, une programmation de messages, la création d’un album photos restent plus aisés sur ce terminal. Une vidéo à tourner ? Un trépied vous assurera la stabilité de votre caméra. Pour le montage vidéo, le confort de l’ordinateur reste incomparable. Votre équipement se fera en fonction de vos besoins de diffusion. Mais il doit aussi être un savant mélange d’utilité, de confort, sans être une contrainte de poids. Batteries externes, chargeurs ne doivent pas être oubliées. L’éternelle interrogation sur la durée de vie de votre smartphone loin d’une prise ne doit pas vous faire rater un moment majeur de l’événement.

Comme dans chaque aventure, il y a toujours des imprévus. Même s’ils n’apparaissent pas au générique, savez-vous combien de chapeaux, de fouets et autres armes Indiana Jones utilise dans un film ? Un téléphone qui met à jour l’appli de votre réseau social, une batterie qui surchauffe ou se décharge sans explication… Pensez à avoir du matériel de secours.  
Vous voilà prêt à partir, ou presque. L’imprévu peut aussi vous amener sur une voix inattendue mais toute aussi intéressante. N’hésitez pas à sortir des sentiers battus pour montrer autre chose, des moments différents que seuls les visiteurs peuvent voir. Enfin n’oubliez pas les spécificités de chacune de vos communautés sur chacun des réseaux sociaux.

Vous voilà prêts ! Mettez votre plus beau chapeau (et lâchez ce fouet), lancez le générique, sortez du bureau et en route pour l’aventure !

Ne dites-plus “relations presse” mais “relations médias” !

C’est un fait ! L’explosion des réseaux sociaux et les usages de l’internet everywhere/everytime permettent un accès universel à l’information. Cela change sensiblement la donne pour un grand nombre de profession, dont celui des relations presse.

Une mutation des enjeux ?

Non content de devoir s’adapter aux nouveaux outils disponibles, il faut désormais prendre en compte la mutation des enjeux et des différentes pratiques de tous les acteurs du secteur.

Pour tous les acteurs du secteur, que ce soit les professionnels de la communication, les internautes, les marques, les agences ou les journalistes, ces profonds changements des usages impactent la façon d’appréhender des métiers qu’on pensait connaître jusqu’ici.

Le marketing a évolué au rythme de ces nouveaux usages, pour permettre aujourd’hui à l’ensemble des acteurs d’exister sur internet au travers du « marketing digital » et de ses enjeux. On compte parmi ces différentes pratiques, le « brand content online » mais aussi le SEO, le retargeting ou le social media.

Une mutation digitale

Les relations presses elles aussi amorcent depuis quelques années leur mutation digitale. Et si le mot relation presse tendait à disparaitre au profit du titre de relations médias ? c’est un des symptômes de la transformation des RP de demain.

Pour comprendre la mutation de ces enjeux, nous avons voulu en savoir un peu plus.

Et c’est Catherine CERVONI qui a accepté de répondre à nos questions !

Catherine, peux-tu présenter rapidement ton parcours et ton métier ?

J’ai travaillé de nombreuses années chez l’annonceur comme responsable de communication, marketing et relations presse et public avant de ne gérer plus que cette dernière partie. En 2010 j’ai lancé ma propre activité toujours en RP ajoutant peu à peu une expérience complémentaire en ce qu’on nomme les RP 2.0. Ce qui me permets de mettre en place des stratégies à 360° avec une casquette consultante, attachée de presse et même formatrice.

Pour toi, quel-est le plus grand défi que doivent relever les RP dans cette révolution digitale ?

Aujourd’hui les RP doivent être en mesure de proposer la meilleure stratégie pour un client ce qui présuppose de maîtriser les relations presse dites traditionnelles ET les RP 2.0. Il faut savoir utiliser les bons leviers au bon moment et coupler les 2 intelligemment à chaque fois que cela est possible. Le métier change et se transforme en relations médias.

C’est un véritable défi car notre métier a considérablement évolué sous la pression du digital et de tous les nouveaux espaces d’expressions qu’il a fait naître comme les blogs et les réseaux sociaux. Nous avons dû continuer à nous intéresser aux journalistes mais aussi à de nouveaux influenceurs comme les blogueurs. Et quand je dis « s’intéresser » ce n’est pas seulement les identifier et constituer un fichier, c’est lire leurs articles, apprendre à les connaître, comprendre quels sont leurs centres d’intérêt et leurs attentes, et enfin essayer de les contacter et tisser des liens avec eux.

Comme cette « nouvelle génération » est très connectée, nous avons dû également apprendre à maîtriser les réseaux sociaux, sans compter que les journalistes se sont également emparés de ces réseaux sociaux comme nous le démontre la  dernière étude Cision  -91 % d’entre eux les utilisent dans leur cadre professionnel -.

Le CP et l’e-mail et ne sont plus les uniques contenus et outils que nous avons à notre disposition, surtout dans ce climat d’infobésité et de sur-communication (en moyenne un journaliste reçoit un CP toutes les 8 minutes !).

Nous avons dû réfléchir à « des contenus » plus adaptés, plus visuels, plus faciles à traiter, très qualitatifs et déclinés selon nos cibles. Nous avons dû apprendre à être de plus en plus agiles, à jongler entre différentes formes d’écriture ou de production qui répondent chacune à des codes précis.

Notre temps de travail a au minimum doublé !

Cette révolution numérique modifie t’elle les relations avec les journalistes ?

Elle a fortement impacté les relations avec tout notre écosystème, journalistes inclus. Les réseaux sociaux sont devenus un canal supplémentaire pour communiquer avec les journalistes, et pas seulement par message privé pour leur demander s’ils ont bien reçu un CP ou les inviter sur une opération. On a vu dans l’étude Cision que les journalistes utilisent notamment les réseaux sociaux : pour publier du contenu (71%), faire une veille (70 %), s’informer (61%). En partageant les informations de nos clients, nous avons une chance supplémentaire d’attirer leur attention. A plusieurs reprises des journalistes m’ont demandé des mises en relation avec mes clients suite à des parutions d’études : ils souhaitaient les interroger en tant qu’experts sur des dossiers qu’ils réalisaient.

L’étude révèle également une tendance émergente : l’utilisation des réseaux sociaux comme un indicateur de mesure : 57 % des sondés les utilisent pour savoir si leur contenu a eu du succès (a-t-il été partagé, commenté …) et 59 % estiment que c’est un indicateur qui leur permet d’orienter la création de leur contenu. Les réseaux sociaux deviennent l’une de leurs sources « d’inspiration » et nous avons plus que jamais intérêt à rechercher des sujets intéressants capables de générer de l’engagement toujours dans l’optique de les inciter à nous prêter attention.

Pour terminer sur une petite anecdote : il arrive que certains médias ayant repris une information de mes clients me disent « et n’hésitez pas à partager sur vos réseaux sociaux », ce que je fais toujours automatiquement.

Et qu’en est t-il des influenceurs ?

Le terme « Influenceur » se retrouve dans un nombre croissant d’articles, chacun a sa définition, chacun son classement sur ses propres critères… Nous avons voulu savoir qui ils étaient pour ceux qui étaient amenés à les contacter (les RP, les marketeurs et communicants). Pour cela nous avons mené, toujours avec Cision, une étude. Pour ces 3 métiers, les journalistes arrivaient en 1er (à 84 %) suivis des blogueurs (à 75 %) puis des experts (à 60 %). Comme je l’ai indiqué, les RP ont l’habitude de travailler avec la 1ère catégorie, ils ont dû apprendre à le faire avec les 2 autres. Pour ma part, cela a été à l’origine du blog que j’ai créé il y a quelques années : je voulais comprendre leurs contraintes, leurs attentes, ce qui est important pour eux … même si je ne suis pas très active par manque de temps cela a été et est toujours très riche en expériences.

Avec le social media, tu trouves que les entreprises ont parfois tendance à oublier les RP dans leur stratégie de marque ?

J’ai la chance d’avoir des personnes qui s’adressent à moi car elles ont compris qu’une stratégie devait être à 360° et donc intégrer RP et social media. J’ai toujours défendu l’idée qu’une stratégie efficace est basée sur un mix qui inclut le marketing/web marketing, les RP, la publicité, la communication … à chaque action correspond un objectif qui peut être commun mais parfois différent. Les RP / relations Influenceurs se construisent dans le temps, sur le long terme, elles nourrissent la notoriété. Une action de social média ou de marketing va générer des leads immédiats… Une entreprise a besoin de l’ensemble de ces actions et de les conjuguer dans une réflexion globale et non parcellaire comme c’est parfois le cas.

Je pense que la prochaine étape est plus d’apprendre à réfléchir et à travailler tous ensemble et à trouver la bonne organisation entre CM , RP, web marketeur, rédacteurs …

Pour terminer ce dossier, vous pouvez retrouver l’intégralité de cette étude ICI

Quels usages de Snapchat pour les entreprises ?

On ne vous apprend rien, Snapchat est une application de partage de photos et de vidéos éphémères aux fonctionnalités très nombreuses. Récemment, elle devient aussi un outil stratégique pour les marques. En effet, l’application créée en 2011 a connu un important succès auprès des jeunes utilisateurs. Aujourd’hui, ce sont les médias et surtout les marques qui se laissent séduire par Snapchat… A juste titre car leurs intérêts y sont nombreux !

Pourquoi Snapchat ?

Chaque jour, c’est près de 700 millions de snaps qui sont envoyés dans le monde sur l’application au 82 millions d’utilisateurs mensuels. Bien évidemment, Snapchat est majoritairement utilisé par une cible jeune et féminine. 50% des utilisateurs ont entre 13 et 17 ans et l’application compte 70% d’utilisatrices. Les marques souhaitant intéresser cette cible ont tout intérêt à utiliser le réseau social à des fins commerciales. En effet, on a pour habitude de dire que les jeunes sont une cible infidèle qu’il est compliqué de toucher ; Snapchat semble idéal pour cela.

De plus, l’application permet de profiter d’une audience concentrée. Pour lire un snap, l’utilisateur a besoin d’avoir le doigt sur l’écran et d’être attentif quelques secondes seulement pour comprendre le message. Ce contexte de lecture facilite la concentration des utilisateurs.
Enfin, grâce à Snapchat, les marques ont la possibilité de créer un capital sympathie auprès de leur communauté en leur adressant des messages exclusifs. Par conséquent, une relation de proximité et de complicité peut commencer à voir le jour.

Snapchat pour… Informer !

Pour les marques, l’application est un support original qui permet d’informer ou d’alerter les utilisateurs tout en conservant un ton léger et un format agréable. OndAzul l’a parfaitement compris en créant les « Nature Snap Facts ». Pour coïncider avec la durée maximale des snaps, la fondation a exploité la fonctionnalité story de l’application pour montrer à sa communauté ce qui disparait dans la nature en 10 secondes. Ces vidéos illustraient par exemple la disparition de 4km²  de forêt amazonienne en seulement 10 secondes, soit la durée d’un snap.

Pour diffuser de l’information, les marques ont aussi la possibilité de mettre en place des publicités sur Snapchat. Celles-ci s’afficheront au milieu de live stories ou dans les contenus « Discover ». En effet, il n’est pas rare de voir s’afficher une courte bande-annonce de film lorsque l’on regarde un contenu Discover sur Snapchat. Les publicités sont ainsi diffusées au milieu d’un contenu riche et ciblé. Celles-ci contiennent toutes un lien pour en savoir plus sur le contenu de la vidéo.

Snapchat pour… Impliquer !

En effet, l’application est idéale pour impliquer une communauté en créant un sentiment d’attente. Celui-ci aura pour effet de pousser l’audience à interagir avec une marque. Ainsi, Samsung s’est associé aux American Music Awards en diffusant la cérémonie en direct grâce aux Live Stories de Snapchat. Grâce à cette opération, Samsung a vu son nom apparaître sur chacun des visuels de la soirée. Un moyen simple et efficace d’impliquer sa communauté avec un événement destiné à une cible jeune.

Snapchat pour… Fidéliser !

Grâce à Snapchat, les marques ont une opportunité unique de fidéliser leurs audiences en leur donnant une raison concrète de faire partie de leur communauté. McDonald’s l’a parfaitement compris en exploitant les geofilters de l’application. Ces derniers sont des éléments graphiques qu’il est possible d’ajouter à son snap en fonction d’une localisation précise. Ainsi, seuls les clients McDonald’s présents dans un magasin de l’enseigne ont eu la possibilité d’ajouter des filtres illustrant des frites et des burgers à leurs snaps. Grâce à cette opération, McDonald’s a réussi à susciter le désir auprès d’une audience ciblée et à attirer des clients dans l’un de ses nombreux fast-food.

En résumé, les marques qui utilisent Snapchat ont très vite compris le potentiel commercial de l’application. Celle-ci permet de toucher une audience ciblée et très nombreuse à condition de faire preuve d’originalité et de créativité. Les campagnes à succès sur ce réseau social ne cessent d’augmenter et l’on imagine que c’est loin d’être terminé tant l’application continue à se développer.

Comment utiliser Snapchat ?

Connaissez-vous Snapchat ? C’est le réseau social aux 150 millions d’utilisateurs qui permet de partager des photos et des vidéos éphémères de 10 secondes maximum entre amis. L’interface épurée de l’application a pu repousser certaines personnes… Mais elle séduit énormément les jeunes qui sont, en général, plus disposés à l’expérimentation. En effet, 71% des utilisateurs de Snapchat ont moins de 25 ans.

Comment envoyer un snap ?

L’utilisation de l’application est assez simple. Une fois lancée, pour prendre une photo, il suffit d’appuyer sur le bouton central de l’application. Dans le cas d’une vidéo, il faut simplement rester appuyé sur ce dernier. Ensuite, l’écran principal propose plusieurs fonctions :

  • Le chronomètre en bas à gauche permet de régler le nombre de secondes dont disposera votre destinataire pour voir la photo ou la vidéo.
  • La petite flèche à sa droite permet de sauvegarder la photo dans Memories.
  • Encore à droite, le petit plus permet de placer instantanément la photo ou vidéo dans votre story.
  • Enfin, pour envoyer votre snap à vos contacts, il suffit de cliquer sur la flèche située en bas à droite.

L’application vous proposera vos meilleurs amis (ceux avec qui vous « snapez » le plus régulièrement) en premier lieu.

Une fois envoyé, vous aurez la possibilité de savoir si votre snap a été vu ou non par vos destinataires : si vous lisez « remis » sous le nom de votre destinataire, cela signifie que votre snap n’a pas encore été ouvert. Au contraire, si vous pouvez lire « reçu », votre photo a bien été consultée.
Pour ajouter un message à votre snap, il suffit simplement de cliquer n’importe où sur votre écran après avoir pris une photo. Soyez concis car Snapchat vous autorise à utiliser 80 caractères au maximum. Vous pouvez aussi dessiner et ajouter des couleurs à votre photo grâce au petit crayon en haut à droite de votre écran.

Stories, Memories… Qu’est-ce que ça veut dire ?

Nous les évoquions précédemment, les Stories ou « histoires » Snapchat permettent d’augmenter la durée de vie de vos contenus sur le réseau social. En effet, dès lors qu’une photo ou une vidéo est placée dans votre story, tous vos amis peuvent la consulter autant de fois qu’ils le veulent pendant 24 heures.

La fonction Memories quant à elle, est une collection de vos snaps envoyés. Pour l’utiliser et sauvegarder un snap, c’est très simple. Il suffit d’appuyer sur la petite icône correspondant (à la droite du chronomètre) lorsque vous avez pris votre snap. Ainsi votre photo sera gardée en mémoire juste après l’apparition du petit texte « Saved to Memories ». Pour accéder ensuite à vos snaps sauvegardés, il suffit d’effectuer un swipe vers le haut lorsque vous êtes sur l’appareil photo. Cette fonctionnalité vous permet d’envoyer un snap ou même de créer une story à partir des photos ou vidéos que vous avez gardées en mémoire avec Memories. Enfin, il est bon de savoir que Snapchat permet de cacher certains snaps sauvegardés grâce à la fonction My Eyes Only. Pour cela, il suffit de rester appuyé sur le snap en question et de choisir « Déplacer vers My Eyes Only ».

Comment utiliser les filtres sur Snapchat ?

Mais si Snapchat plaît tant aux jeunes, c’est aussi grâce à sa capacité à se renouveler. Depuis Février, l’application permet à ses utilisateurs de se divertir par l’intermédiaire de filtres. En effet, celle-ci propose différents filtres « classiques » en permettant d’afficher l’heure, la vitesse et d’ajouter une couleur de fond à votre photo.

Cependant, si vous activez la localisation sur votre téléphone, l’application vous donnera accès à de nombreux autres filtres. Ces derniers sont des filtres graphiques spécifiques à un lieu et vous seront accessibles à condition que vous soyez à proximité de ce lieu. Il est possible de voir un filtre illustrant la Tour Eiffel lorsque l’on se trouve à Paris par exemple.

De plus, Snapchat propose dorénavant des filtres très amusants qui vous permettent de « jouer » avec votre visage. Pour accéder à ces derniers, il suffit de mettre son appareil en mode « selfie » et d’appuyer quelques secondes sur l’écran du téléphone. Les différents filtres apparaîtront alors au bas de votre écran.  Parmi les incontournables, vous retrouverez le chien qui tire la langue, le visage triste, le vomi d’arc-en-ciel ou encore le face swap qui vous permet d’échanger votre visage avec celui d’un ami. Tous les jours, de nouveaux filtres sont disponibles sur l’application.

Si vous souhaitez devenir un expert, Snapchat vous met au défi de collecter tous les trophées de l’application (découvrez-les grâce à notre infographie !).

Les utilisateurs ne sont pas les seuls à jouer avec ce réseau social… En effet, les marques et les médias s’intéressent de plus en plus à Snapchat, le potentiel commercial de ce phénomène étant plutôt très intéressant… Alors, Prêts à snaper ?

 

 

 

infographie émoticones et trophées snapchat